jeudi 20 mai 2010

HISTOIRE URO 2


J’avais rencontré P. à la fin du mois de janvier, ça fait juste 3 mois. Au début, notre relation était très chaste : on se voyait l’après-midi pour se boire un café ou une bière, tantôt au soleil d’une terrasse, tantôt à l’abri les jours de pluie.Un mois après notre rencontre, il se décide à m’emmener découvrir sa demeure du 16° siècle à une cinquantaine de kilomètres. Je me sens un peu impressionné par cet endroit ; lui aussi, à cause de tous ces souvenirs partagés avec son ex avec qui il a vécu plus de 20 ans.Après une bière et un joint ou deux, je me sens entreprenant : au début, c’est plutôt des gestes de tendresse avec ma tête contre son épaule puis les pulls disparaissent puis les chemises et nous passons sur son lit. Notre relation prend une nouvelle tournure et nous découvrons le sexe dans une sensualité infinie.Pendant environ un mois nous aurons plusieurs fois l’occasion de faire l’amour ainsi mais je me sentais à chaque fois frustré, moi qui adore boire le sperme de mon partenaire.Nous finissons par passer chacun un test VIH et, les résultats étant satisfaisants, je peux me lâcher : désormais, à chaque fois qu’il jouit, c’est dans ma bouche ou sur mon visage et je m’arrange pour en avaler un maximum.Il m’avait raconté voila quelques semaines ce plan qu’il avait fait il y a quelques années avec un mec qui lui avait bousillé un matelas en se mettant à lui pisser dessus au pieu sans le prévenir. Il savait donc ce que c’était qu’un plan uro. J’avais envie de franchir le pas pour ce genre de plan mais en tant que receveur et en faisant ça dans ma baignoire pour éviter d’en foutre partout.Le 1er mai, il est venu passer la soirée chez moi, sa première soirée chez moi. On dîne à la maison, on s’écoute de la musique en se prenant un verre et en se fumant un joint ou deux. Il semble intéressé pour voir un porno : je sors un film avec Dawson, ce mec accro au jus, un nombre incalculable de mecs ont giclé dans sa bouche ou dans son cul et voir un cul qui déborde de foutre, en général, ça m’excite un max. Mais ce soir, serait-ce l’effet du joint, je me sens trop détendu pour avoir la force de bander. Je lui bouffe sa queue, ses couilles et son cul, on est installés sur le canapé, devant la télé et les images du film.Au bout d’un moment, on passe dans ma chambre et je me remets à m’occuper de lui : il gémit sous ma langue qui s’insinue, son corps se cambre et j’aime de plus en plus. On s’échauffe comme ça pendant un moment et soudain, il me dit :- Excuse moi, je crois que j’ai envie de faire pipi.- Ouais ? On essaie de faire comme on a dit tout à l’heure ?Je lui avais parlé dans le courant de la journée de mon envie d’être receveur de sa pisse, je ne savais pas bien si j’étais prêt à l’avaler ou si il devrait se conter de m’arroser le corps.On sort de la chambre, direction salle de bain. Je me mets à genoux dans la baignoire et lui se met debout devant moi, sa queue est à quelques centimètres devant ma bouche. Je guette ce qui va sortir de sa queue et quand le jet apparaît, j’hésite à peine une seconde : j’ouvre la bouche et je laisse entrer sa pisse, j’en avale un max, je la trouve bonne, elle n’a presque pas de goût, à peine plus forte que de l’eau. Je gobe son gland et je sens le jet de sa pisse contre ma langue, j’avale tout ce que je peux. Je ressors sa queue de ma bouche et je m’asperge le visage et le torse avec sa pisse. Et ça continue un moment ! Je remets sa queue dans ma bouche, encore cette sensation troublante : le jet contre ma langue, j’adore ça et j’avale encore et encore ! La situation me rend dingue, j’ai envie que ça se prolonge toute la nuit, mais comment ai-je pu vivre sans connaître pareille expérience ? Je me sens dans un état de soumission totale, ça me semble la chose la plus naturelle du monde : boire la pisse de mon partenaire, c’est ce que j’appellerais une preuve d’amour ultime, comme accepter qu’il jouisse dans mon cul. Le jet finit par s’arrêter mais je réussis à récupérer avec ma langue la dernière goutte qui perle à son gland.Nous nous rinçons sous la douche et revenons dans ma chambre puis reprenons nos ébats. Je réussis à être plus en forme et finalement je le pénètre et je finis par jouir dans son cul, une giclée qui n’en finit pas, j’ai l’impression que son cul va déborder de mon foutre. Puis je le fais jouir sur mes lèvres et nous nous couchons pour essayer de dormir.Nous sommes trop excités pour réussir à vraiment dormir et deux heures plus tard, il a encore envie de sexe.Nos membres recommencent à durcir, on se branle, on se suce et au bout de quelques minutes, il me dit :- Je crois que j’ai encore envie de pipi…- Super ! On retourne dans la salle de bain ?!Et me revoilà en position à genoux devant sa queue à guetter le jet. Dès qu’il commence, j’ouvre la bouche en grand et j’avale le liquide chaud. Cette fois-ci sa pisse a plus de goût mais je l’adore quand même et j’en avale un max. Comme la première fois, je m’amuse à gober son gland pour sentir son jet de pisse buter contre ma langue puis je ressors sa queue de ma bouche pour diriger son jet sur mon visage et mon torse.Cette séance dure quelques instants jusqu’à ce que sa vessie soit vidée. Je le bois jusqu’à la dernière goutte. J’ai vraiment la sensation que je deviens accro à la pisse, je ne vois pas comment je pourrais avoir une relation sexuelle sans avoir une petite partie uro…Nous nous rinçons et revenons dans ma chambre puis reprenons nos ébats. Je le fais jouir une nouvelle fois au-dessus de ma bouche et de mon visage, j’en ai partout, jusque dans les cheveux mais je réussis à en avaler une bonne partie.Décidément, j’adore tout ce qui sort de sa queue !! Dès le lendemain, lors de notre rencontre suivante, j’avais envie de boire à sa queue, mais, cette fois-ci, j’avais aussi envie de quelque chose de plus excitant : un plan uro en extérieur.Le samedi après-midi, il faisait beau, nous avons pris sa voiture et sommes allés sur la côte vendéenne, une plage bien connue des homos, enfin, c’est surtout dans le bois derrière la dune que les choses se passent… Il y a 2 ans, j’avais eu l’occasion de me faire un plan dans ces lieux qui s’était fini à 5 participants…D’habitude, quand il s’agit de sucer un mec ou de me faire sucer, voire d’enculer un mec, ça ne me dérange pas d’être exhib. Quelque part ça m’excite de penser que, pas loin de nous, un mec est en train de se branler en matant le spectacle que nous donnons, c’est d’ailleurs ce qui s’est passé voilà quelques semaines ; mais, aujourd’hui, pour un plan un peu plus extrême, je ne voulais pas être vu.Nous avons arpenté les allées dans le bois mais il y avait pas mal de mecs en vadrouille. Je comptais nous installer dans une petite clairière au milieu des fourrés mais je me suis rendu compte qu’il y avait encore du passage, alors on a continué à marcher en remontant vers le nord. On a marché, marché… et ça faisait depuis le parking qu’il m’avait dit qu’il avait envie de pisser, je voyais le moment où il allait devoir se soulager la vessie sans pouvoir m’en faire profiter. Nous avions passé le niveau du blockhaus sur la plage et nous étions dans un coin des bois que je ne connaissais pas.Nous avons fini par trouver un endroit complètement au calme, une petite clairière au pied des pins.Nous avons déroulé nos serviettes et nous avons commencé à bien nous échauffer : à se pomper le dard et les couilles, à se mordiller les tétons, à se griffer le dos, à glisser un doigt dans le fion de l’autre… J’aime bien lui fouiller les entrailles…Au bout d’un moment, il me dit qu’il a vraiment envie de pisser, on s’éloigne de nos serviettes pour se mettre sur la mousse, lui debout et moi à genoux devant sa queue, je guette le jet qui s’apprête à sortir. Sa queue est bien raide, j’adore son gland qui est plus gros, en diamètre, que la tige de sa queue.Dès que ça commence à sortir, j’ouvre la bouche et je gobe son gland.Encore cette sensation étrange quand je sens le jet de pisse qui bute contre ma langue. J’en avale des pleines gorgées au fur et à mesure puis je sors de ma bouche son gland qui pisse encore pour diriger le jet sur mon visage et mon buste. La pisse me coule sur tout le corps et j’adore ça à un point que je ne peux décrire.Il me dit que lorsqu’il pisse après avoir bien bandé, il a la sensation de jouir et non de pisser, ce qui fait qu’il a l’impression de jouir pendant un temps infini et à chaque fois qu’il a fini de pisser dans ma bouche son corps est agité de tremblements.J’avais emmené une serviette pour m’essuyer mais, même après séchage, l’odeur de pisse reste sur ma peau et ça m’excite un max.Nous avons remis ça le soir même chez moi en revenant de prendre un verre et le lendemain matin puis 2 jours plus tard : à chaque fois que nous avons un rapport sexuel, j’ai besoin d’avoir ma ration de pisse et de foutre.A propos de foutre, il m’a bien attrapé hier soir : depuis une semaine, je l’ai convaincu de boire mon foutre lorsque je jouis et hier soir je lui largue la purée dans sa bouche et, aussitôt, il se rue sur moi et vient recracher tout mon foutre dans ma bouche et sur mon visage, sa langue pleine de mon jus passe sur mes joues et sur mon nez, j’en ai partout et j’adore.Hier soir, je l’ai doigté et je sentais que son cul n’était pas vide. Lorsque je ressortais mon doigt, je le léchais et je lui ai dit mon nouveau fantasme : lui torcher le cul avec ma langue une fois qu’il a chié ; ce sera peut-être pour le week-end prochain…

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