vendredi 28 mai 2010

Train de nuit!!


je suis dans le premier train qui part de Saint-Charles. il est 5h du matin. Je rentre chez moi apres une nuit dans un bordel marseillais. De bons cacous mais pas de sexe reeel. Me suis juste astiqué sans juter. Deux heures pas plus et je retrouve mon pote dnas son lit. Pas de controle, je connais la ligne. Dernier wagon : il possede encoe des compartiments. Je monte, on est juste peu. Je reste dans le couloir.Le train demarre et je trace vers les chiottes pour m'en griller une vite fait. Au retour Je passe devant un compartiment dans lequel un mec est allongé et ronfle. Je matte la bosse de son jogging : l emec se tape une bonne erection dans son sommeil. Je deviens excité. Je ferme la porte derriere nous en me penchant vers sa bosse. Je remarque que une fois le compartiment fermé une bonne odeur de male se repend autour de nous. Le mec ronfle doucement, Il pue de la bite a travers son jogg et des nike degagent aussi bien. Mais le gonze sent surtout la transpiration bien acre : ses aiselles daubent a mort. Je planne et commence a me toucher mon bitos qui est deja bien raide. J'approche mes nazeaux des ieps du keum et ce faisant je bute sur des canettes de bieres qui sont juste sous son siege. Le mec bouge et se reveille d'un coup. Moi jai senti le coup venir et me suis vite assis face a lui. il me demande si ca va et ou on est. Il a raté son arret a Toulon. le mec pue la biere et la vodka, il rentre dune fete aussi. On lui a braqué ses papiers et son portable. Il demande si il peut utiliser le mien. Je le matte bien : il est genre brun poilu footeux cheveux en brosse et bon pecs. un peu de bide comme je kiffe, la treentaine hetero marie avec alliance. Je lui file mon portable en oubliant car je suis bien chargé aussi, que l'ecran de veille cest le bitos de mon pote. Le gars me capte de suite dès kil allume le tel. Il passe son appel et me demande si jaime labite. Direct jen crois pas mes oreilles. Je lui reponds oui. Il me dit kil a besoin de decouiller grave. On va aux chiottes ensemble direct. Je roule un spliff on fume comme 2 malades. Je me baisse et lui sent a travers le jogg sa pine dure comme du metal. On se touche bien comme 2 frangins et on s'astiquent nos pines bien dures et on fait ce que deux hommes en rut font de mieux. Le jour se leve, les odeurs de males nous entourent, on crachent comme crachent 2 hommes entre eux, comme des animaux en rut, surpris de la puissance animale et de la violence verbale et physique qui se cachent en nous. Comme jamais sa meuf le fera ruter dans sa vie de male. Histoire reel. Nuit du 11 au 12 Novembre. Train Marseille-Montpellier. Sans lendemain c'etait sa promesse que je respecte . Parole d'homme.

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