vendredi 28 mai 2010
Train de nuit!!
je suis dans le premier train qui part de Saint-Charles. il est 5h du matin. Je rentre chez moi apres une nuit dans un bordel marseillais. De bons cacous mais pas de sexe reeel. Me suis juste astiqué sans juter. Deux heures pas plus et je retrouve mon pote dnas son lit. Pas de controle, je connais la ligne. Dernier wagon : il possede encoe des compartiments. Je monte, on est juste peu. Je reste dans le couloir.Le train demarre et je trace vers les chiottes pour m'en griller une vite fait. Au retour Je passe devant un compartiment dans lequel un mec est allongé et ronfle. Je matte la bosse de son jogging : l emec se tape une bonne erection dans son sommeil. Je deviens excité. Je ferme la porte derriere nous en me penchant vers sa bosse. Je remarque que une fois le compartiment fermé une bonne odeur de male se repend autour de nous. Le mec ronfle doucement, Il pue de la bite a travers son jogg et des nike degagent aussi bien. Mais le gonze sent surtout la transpiration bien acre : ses aiselles daubent a mort. Je planne et commence a me toucher mon bitos qui est deja bien raide. J'approche mes nazeaux des ieps du keum et ce faisant je bute sur des canettes de bieres qui sont juste sous son siege. Le mec bouge et se reveille d'un coup. Moi jai senti le coup venir et me suis vite assis face a lui. il me demande si ca va et ou on est. Il a raté son arret a Toulon. le mec pue la biere et la vodka, il rentre dune fete aussi. On lui a braqué ses papiers et son portable. Il demande si il peut utiliser le mien. Je le matte bien : il est genre brun poilu footeux cheveux en brosse et bon pecs. un peu de bide comme je kiffe, la treentaine hetero marie avec alliance. Je lui file mon portable en oubliant car je suis bien chargé aussi, que l'ecran de veille cest le bitos de mon pote. Le gars me capte de suite dès kil allume le tel. Il passe son appel et me demande si jaime labite. Direct jen crois pas mes oreilles. Je lui reponds oui. Il me dit kil a besoin de decouiller grave. On va aux chiottes ensemble direct. Je roule un spliff on fume comme 2 malades. Je me baisse et lui sent a travers le jogg sa pine dure comme du metal. On se touche bien comme 2 frangins et on s'astiquent nos pines bien dures et on fait ce que deux hommes en rut font de mieux. Le jour se leve, les odeurs de males nous entourent, on crachent comme crachent 2 hommes entre eux, comme des animaux en rut, surpris de la puissance animale et de la violence verbale et physique qui se cachent en nous. Comme jamais sa meuf le fera ruter dans sa vie de male. Histoire reel. Nuit du 11 au 12 Novembre. Train Marseille-Montpellier. Sans lendemain c'etait sa promesse que je respecte . Parole d'homme.
mercredi 26 mai 2010
vendredi 21 mai 2010
Jeudi 20 Mai 2010
Direction Pornic en 44,rdv a 14h30 ,j'arrive chez le Maitre ,il me fait mettre a poil ,commence par me travailler et triture les tetons ,j adore ca m'excite grave ,il m attache a la rembarde de l escalier ,m attache les couilles ,me mets des poids et les fait balancer ( jai connu pire, avec 9 kg),pince aus seins ,martinet sur tout le corps ,les tetons le cul les couilles ,mon cul rougi; puis il me detache (dommage ,son copain n'est pas venu)a quattre patte il me tire les couilles par l arriere jaime beaucoup et lui aussi ,il me dit que j ai de belles couilles de salope ,quelques claque sur le cul ,puis direction la salle de bain,la ,il me pisseras dessus ,douche de pisse et j en boirais aussi un maximum ,ca j adore ,la sienne est bonne ,douce ...hum!!
Apres nous monterons a l etage ,et il n arreteras pas de s'occuper de mes couilles ,les etirees ,les malaxes
Enfin voila 2 h passe avec lui ,et mes couilles sen souviennent!
a bientot
jeudi 20 mai 2010
HISTOIRE URO 2
J’avais rencontré P. à la fin du mois de janvier, ça fait juste 3 mois. Au début, notre relation était très chaste : on se voyait l’après-midi pour se boire un café ou une bière, tantôt au soleil d’une terrasse, tantôt à l’abri les jours de pluie.Un mois après notre rencontre, il se décide à m’emmener découvrir sa demeure du 16° siècle à une cinquantaine de kilomètres. Je me sens un peu impressionné par cet endroit ; lui aussi, à cause de tous ces souvenirs partagés avec son ex avec qui il a vécu plus de 20 ans.Après une bière et un joint ou deux, je me sens entreprenant : au début, c’est plutôt des gestes de tendresse avec ma tête contre son épaule puis les pulls disparaissent puis les chemises et nous passons sur son lit. Notre relation prend une nouvelle tournure et nous découvrons le sexe dans une sensualité infinie.Pendant environ un mois nous aurons plusieurs fois l’occasion de faire l’amour ainsi mais je me sentais à chaque fois frustré, moi qui adore boire le sperme de mon partenaire.Nous finissons par passer chacun un test VIH et, les résultats étant satisfaisants, je peux me lâcher : désormais, à chaque fois qu’il jouit, c’est dans ma bouche ou sur mon visage et je m’arrange pour en avaler un maximum.Il m’avait raconté voila quelques semaines ce plan qu’il avait fait il y a quelques années avec un mec qui lui avait bousillé un matelas en se mettant à lui pisser dessus au pieu sans le prévenir. Il savait donc ce que c’était qu’un plan uro. J’avais envie de franchir le pas pour ce genre de plan mais en tant que receveur et en faisant ça dans ma baignoire pour éviter d’en foutre partout.Le 1er mai, il est venu passer la soirée chez moi, sa première soirée chez moi. On dîne à la maison, on s’écoute de la musique en se prenant un verre et en se fumant un joint ou deux. Il semble intéressé pour voir un porno : je sors un film avec Dawson, ce mec accro au jus, un nombre incalculable de mecs ont giclé dans sa bouche ou dans son cul et voir un cul qui déborde de foutre, en général, ça m’excite un max. Mais ce soir, serait-ce l’effet du joint, je me sens trop détendu pour avoir la force de bander. Je lui bouffe sa queue, ses couilles et son cul, on est installés sur le canapé, devant la télé et les images du film.Au bout d’un moment, on passe dans ma chambre et je me remets à m’occuper de lui : il gémit sous ma langue qui s’insinue, son corps se cambre et j’aime de plus en plus. On s’échauffe comme ça pendant un moment et soudain, il me dit :- Excuse moi, je crois que j’ai envie de faire pipi.- Ouais ? On essaie de faire comme on a dit tout à l’heure ?Je lui avais parlé dans le courant de la journée de mon envie d’être receveur de sa pisse, je ne savais pas bien si j’étais prêt à l’avaler ou si il devrait se conter de m’arroser le corps.On sort de la chambre, direction salle de bain. Je me mets à genoux dans la baignoire et lui se met debout devant moi, sa queue est à quelques centimètres devant ma bouche. Je guette ce qui va sortir de sa queue et quand le jet apparaît, j’hésite à peine une seconde : j’ouvre la bouche et je laisse entrer sa pisse, j’en avale un max, je la trouve bonne, elle n’a presque pas de goût, à peine plus forte que de l’eau. Je gobe son gland et je sens le jet de sa pisse contre ma langue, j’avale tout ce que je peux. Je ressors sa queue de ma bouche et je m’asperge le visage et le torse avec sa pisse. Et ça continue un moment ! Je remets sa queue dans ma bouche, encore cette sensation troublante : le jet contre ma langue, j’adore ça et j’avale encore et encore ! La situation me rend dingue, j’ai envie que ça se prolonge toute la nuit, mais comment ai-je pu vivre sans connaître pareille expérience ? Je me sens dans un état de soumission totale, ça me semble la chose la plus naturelle du monde : boire la pisse de mon partenaire, c’est ce que j’appellerais une preuve d’amour ultime, comme accepter qu’il jouisse dans mon cul. Le jet finit par s’arrêter mais je réussis à récupérer avec ma langue la dernière goutte qui perle à son gland.Nous nous rinçons sous la douche et revenons dans ma chambre puis reprenons nos ébats. Je réussis à être plus en forme et finalement je le pénètre et je finis par jouir dans son cul, une giclée qui n’en finit pas, j’ai l’impression que son cul va déborder de mon foutre. Puis je le fais jouir sur mes lèvres et nous nous couchons pour essayer de dormir.Nous sommes trop excités pour réussir à vraiment dormir et deux heures plus tard, il a encore envie de sexe.Nos membres recommencent à durcir, on se branle, on se suce et au bout de quelques minutes, il me dit :- Je crois que j’ai encore envie de pipi…- Super ! On retourne dans la salle de bain ?!Et me revoilà en position à genoux devant sa queue à guetter le jet. Dès qu’il commence, j’ouvre la bouche en grand et j’avale le liquide chaud. Cette fois-ci sa pisse a plus de goût mais je l’adore quand même et j’en avale un max. Comme la première fois, je m’amuse à gober son gland pour sentir son jet de pisse buter contre ma langue puis je ressors sa queue de ma bouche pour diriger son jet sur mon visage et mon torse.Cette séance dure quelques instants jusqu’à ce que sa vessie soit vidée. Je le bois jusqu’à la dernière goutte. J’ai vraiment la sensation que je deviens accro à la pisse, je ne vois pas comment je pourrais avoir une relation sexuelle sans avoir une petite partie uro…Nous nous rinçons et revenons dans ma chambre puis reprenons nos ébats. Je le fais jouir une nouvelle fois au-dessus de ma bouche et de mon visage, j’en ai partout, jusque dans les cheveux mais je réussis à en avaler une bonne partie.Décidément, j’adore tout ce qui sort de sa queue !! Dès le lendemain, lors de notre rencontre suivante, j’avais envie de boire à sa queue, mais, cette fois-ci, j’avais aussi envie de quelque chose de plus excitant : un plan uro en extérieur.Le samedi après-midi, il faisait beau, nous avons pris sa voiture et sommes allés sur la côte vendéenne, une plage bien connue des homos, enfin, c’est surtout dans le bois derrière la dune que les choses se passent… Il y a 2 ans, j’avais eu l’occasion de me faire un plan dans ces lieux qui s’était fini à 5 participants…D’habitude, quand il s’agit de sucer un mec ou de me faire sucer, voire d’enculer un mec, ça ne me dérange pas d’être exhib. Quelque part ça m’excite de penser que, pas loin de nous, un mec est en train de se branler en matant le spectacle que nous donnons, c’est d’ailleurs ce qui s’est passé voilà quelques semaines ; mais, aujourd’hui, pour un plan un peu plus extrême, je ne voulais pas être vu.Nous avons arpenté les allées dans le bois mais il y avait pas mal de mecs en vadrouille. Je comptais nous installer dans une petite clairière au milieu des fourrés mais je me suis rendu compte qu’il y avait encore du passage, alors on a continué à marcher en remontant vers le nord. On a marché, marché… et ça faisait depuis le parking qu’il m’avait dit qu’il avait envie de pisser, je voyais le moment où il allait devoir se soulager la vessie sans pouvoir m’en faire profiter. Nous avions passé le niveau du blockhaus sur la plage et nous étions dans un coin des bois que je ne connaissais pas.Nous avons fini par trouver un endroit complètement au calme, une petite clairière au pied des pins.Nous avons déroulé nos serviettes et nous avons commencé à bien nous échauffer : à se pomper le dard et les couilles, à se mordiller les tétons, à se griffer le dos, à glisser un doigt dans le fion de l’autre… J’aime bien lui fouiller les entrailles…Au bout d’un moment, il me dit qu’il a vraiment envie de pisser, on s’éloigne de nos serviettes pour se mettre sur la mousse, lui debout et moi à genoux devant sa queue, je guette le jet qui s’apprête à sortir. Sa queue est bien raide, j’adore son gland qui est plus gros, en diamètre, que la tige de sa queue.Dès que ça commence à sortir, j’ouvre la bouche et je gobe son gland.Encore cette sensation étrange quand je sens le jet de pisse qui bute contre ma langue. J’en avale des pleines gorgées au fur et à mesure puis je sors de ma bouche son gland qui pisse encore pour diriger le jet sur mon visage et mon buste. La pisse me coule sur tout le corps et j’adore ça à un point que je ne peux décrire.Il me dit que lorsqu’il pisse après avoir bien bandé, il a la sensation de jouir et non de pisser, ce qui fait qu’il a l’impression de jouir pendant un temps infini et à chaque fois qu’il a fini de pisser dans ma bouche son corps est agité de tremblements.J’avais emmené une serviette pour m’essuyer mais, même après séchage, l’odeur de pisse reste sur ma peau et ça m’excite un max.Nous avons remis ça le soir même chez moi en revenant de prendre un verre et le lendemain matin puis 2 jours plus tard : à chaque fois que nous avons un rapport sexuel, j’ai besoin d’avoir ma ration de pisse et de foutre.A propos de foutre, il m’a bien attrapé hier soir : depuis une semaine, je l’ai convaincu de boire mon foutre lorsque je jouis et hier soir je lui largue la purée dans sa bouche et, aussitôt, il se rue sur moi et vient recracher tout mon foutre dans ma bouche et sur mon visage, sa langue pleine de mon jus passe sur mes joues et sur mon nez, j’en ai partout et j’adore.Hier soir, je l’ai doigté et je sentais que son cul n’était pas vide. Lorsque je ressortais mon doigt, je le léchais et je lui ai dit mon nouveau fantasme : lui torcher le cul avec ma langue une fois qu’il a chié ; ce sera peut-être pour le week-end prochain…
mercredi 19 mai 2010
Mes rencontres de l ete 2009 en 44
semaine 31 juilet aout
Une semaine riche en rencontre , lindi matin rdv avec un jh de 18a que je rencontre pour la deuxieme fois ,je sais ce qu'il veut moi 478 lui 18 ,mais il adore mon cul ,il veut tout simplement me limer a fonf ,je le sucerais ,lui boufferais les couiles ,un petit moment agréable !et comme il est pas tres loin de chez moi ,on se reverras sans doute pour ce debut aout!
Toujours ce lundi ,deux motards rencontre avec mes annonces sur internet , en vacances du cote de pornic ,rdv a 16h et la jusqu a 17h30 c'est ma fete
plan plutot hard ,arrive dans un petit bois apres 15 mn de marche je recois l ordre de me desaper ,eux en combinaison cuir et gant cuir ,le premier me tate le paquet ,pendant que le second (plus jeune environs 29a ) se met derriere moi et me triture les tetons,il me mettra quelque claque sur le cul ,toujours avec ces gants de cuir ,puis viendra le momment ou j aurais a pomper ces deux belle bites ,lecher les couilles ,bouffer les cul,le pls jeune n hesiteras pas a m enfoncer a fond de gorge sa bite (24 cm),pendant que l autre s occupe de mon cul, j aurais les bras atache avec une cordellette dans le dos , me voila a quattre patte sur une serviette , coulle attache et relie aux molletsn,je prends des claques sur le cul, quelques coups de ceinture ,pendant que le plus jeune commence a me pisser dessus puis direct en bouche ou je devrais boire une grande quantite ,son ami,me pissant lui dans le dos ,j en ai partout ,j adore ,je prends mon pied de la piosse en bouche plus douche ,(il parle de moi pendant que je suce ,t as vue c'est une bonne salope) ,je serais attache a un arbre et re ,pisse coups anus defonce,sucer ,lecher cul etc etc ,i me feront jouir ,eux garde leur semence pour etre entre eux deux ,deux motards sympa dont je garde le contact et espere revoir en 44 en vacances a la mi aout.
Derniere rencontre suite a annonce ,vendredi sur saint nazaire ,un hétero qui a des envie d homme ,mais plan hard prevue ,il a 27a vie ave une copine (absente ,ne rentre qu a 21h ) moi j arrive chez lui a 18h30 et jusqua 20h30 ,il se servira de moi comme sa lope ,je le suce et il adore ,il dit que je suce beaucoup mieux que sa copine,je lui boffe les couilles ,je lui leche le cul il adore ,il me rentre 1 puis 2 doigts dans le cul , m insulte de salope ,que je suisune bonne pute ,puis il m'encule ;il aime et moi aussi!!!!mais je devrais lui rendre l appareil je tende de le penetrer en douceur il aime mais n assisteras pas (manque d habitude),puis direction salle de bain,il fait couler l eau tiede ,et re ,mon cul tournee vers sa bite il remet ca ,m enfile a fond sort ,re rentre ,retourd au salon pour soi disant une pause mais je me remet a le pomper ,je ne debande pas ,lui oui ,il adore mon traitement buccale ,et mon cul reprendra encore et encore des coups de bites ,et retourd salle de bain et la il me pisse dessus et en bouche (a mma demande) il y prends du plaisirs ,je serais copieusement arroser de pisse et en aurais pleina boire ,puis il veut que je jouisse sur son visage ,chose que je ferais des qu il ma mordille les tetons ,il en auras plein partout (malheureusement il c'est essuyer abvec une serviette ) j aurais pu le lecher le nettoyer avec ma langue ,retour au salon il veut que je suce ,alors c'est reparti ;puis lui aussi jouiras sur mon visage ,salle de bain ,on se nettois on se seche ,je me rabhille ,mais dans le couiloir il me demande de rebaisser mon pantacourt ,et re ,coup de bite dans le cul je le resuce il est tres gourmand et ca me vas ouisque moi aussi , ca a dure 2 heurs ,j'espere le revoir ientot a st nazaire ....
Publié par gayshards à l'adresse 11:39 0 commentaires
DIMANCHE 26 JUILLET 2009
lundi 17 mai 2010
vendredi 14 mai 2010
jeudi 13 mai 2010
Une soirée Pisse
Fou de pisse et jus
En plein cœur de Paris, j’ai été invité à une soirée naturiste qui s’est avéré très bandante pour moi…
En effet, dès que je suis rentré à l’intérieur, j’ai poussé un rideau et j’ai découvert sous mes yeux une horde de mecs à poils… En train de baiser… C’était comme une grosse partouze de keums !
Je me suis déshabillé en moins d’une minute, j’ai mis mes habilles dans le sac en plastique que l’on m’avait donné à l’entrée et j’ai été le déposer aux vestiaire…
Je me suis rendu au bar pour me commander un verre, j’étais entièrement nu et je bandais déjà comme un fou… Mon Whisky Coca à la main, je me suis baladé un peu partout à l’intérieur du club pour visiter les lieux… Des mains touchaient ma queue raide et je matais en sirotant mon verre les mecs en train de se sucer, se sodomiser…
Après avoir fini mon verre, je me suis rendu aux toilettes pour pisser et me laver les mains… Quand je suis arrivé dans les WC, un mec était à genoux sur le sol devant l’un des deux urinoirs. Le second urinoir était occupé par un autre mec en train d’uriner…
Le mec qui était à genoux avait la bouche ouverte et me disait de lui pisser dans la gueule… je ne me suis pas fait prier, je me suis rapproché de lui, j’ai posé mon gland sur le bord de ses lèvres et j’ai pissé dans sa bouche… Le mec était plutôt bogoss, imberbe, mince et pas mal monté de la teub.
Il a enveloppé ma bite avec sa bouche pour ne pas perdre une goutte de ma pisse. Je pissais à fond, comme dans un chiotte, le mec assurait vachement bien, il ingurgitait toute ma pisse que je lui donnais à boire sans broncher…
Après avoir fini, il m’a proposé d’aller boire un verre au bar, je l’ai suivi et j’ai repris un deuxième Whisky Coca, lui, il a pris une grosse chope de bière pression. Nous avons bavardé ensemble tout en buvant nos verres, il m’a raconté des tas de choses, tout en invoquant son penchant pour les plans uro…
Il m’a demandé si j’avais déjà avalé de la pisse et je lui ai répondu qu’oui, une seule fois dans un BackRoom Parisien. Je lui ai dit que cela m’avait beaucoup excité mais que je n’avais jamais eu l’occasion de recommencer ce style de plan cul…
Il m’a proposé de passer la soirée avec lui dans les chiottes du club naturiste pour ce faire quelques plans uro… J’ai immédiatement eu une trique d’enfer et le mec l’a remarqué… Je n’ai même pas eu besoin de lui répondre qu’il m’a invité à le suivre jusque dans les WC.
On s’est mis à genoux devant chaque urinoir et les mecs ont de suite commencés à arriver… Le premier à refusé de pisser dans ma bouche, il préférait son urinoir habituel, l’autre mec qui m’accompagnait… Il a placé sa bite dans sa bouche et je voyais la gorge du buveur de pisse déglutir, il avalait ça avec une facilité déconcertante.
Le second a refusé de pisser dans une bouche, il voulait pisser directement dans l’urinoir, alors, je lui ais cédé ma place en me reculant d’un mètre juste à côté du mec qui était encore en train d’avaler la pisse du premier keum…
Dès qu’il eut terminé de vider la vessie du mec, celui-ci l’a remercié et est repartit. Nous n’avons pas eu le temps d’échanger un mot, que d’autres mecs arrivaient et acceptaient de se vider dans nos bouches… J’ai eu l’honneur de boire la pisse du troisième garçon. Il a rentré sa bite dans ma bouche, j’ai serré mes lèvres sur sa queue à moitié débandée et j’ai senti son jet chaud me remplir la bouche…
Je n’osais pas avaler au début, je laissais ma bouche se remplir jusqu’au moment ou je n’avais plus le choix que d’avaler sa pisse sous peine de devoir tout recracher sur lui… Je ne voulais pas passer pour un idiot, alors j’ai réussi à avaler la première gorgé de pisse et les autres sont passées toutes seules, j’avalais bien régulièrement, au fur et à mesure que ma bouche se remplissait…
Quand j’ai eu finis mon premier, j’ai rapidement tourné la tête pour voir l’autre mec, il était toujours en train de boire la pisse des mecs qui voulaient se soulager… J’ai immédiatement enchaîné avec le deuxième keum, j’ai ouvert ma gueule, la queue s’est glissée dans ma bouche et j’avalais…
Après avoir fini de boire la pisse du second, j’ai moi-même eu envie de pisser… Je me suis relevé et je me suis tourné vers l’urinoir. Mon acolyte m’a de suite demandé ce que je faisais et m’a dit de m’approcher de lui. J’ai compris ce qu’il voulait, j’ai donc rentré ma bite dans sa bouche et j’ai pissé la pisse que j’avais bu des autres mecs…
Dès que j’eus fini, il m’a dit que lui aussi avait grave envie de pisser et c’est tout naturellement qu’il m’a demandé de me mettre à genoux devant sa queue… je me suis exécuté et j’ai senti sa bite rentrer pratiquement dans le fond de ma gorge, car il avait une longue bite qui bandait à moitié…
Je ne pouvais pas déglutir à cause de son gland qui était juste à l’entrée de ma glotte, dans le fond de ma gorge… J’ai alors gonflé mon gosier et j’ai penché ma tête vers le haut au maximum pour permettre à la pisse de couler dans mon estomac… Je ne sentais pratiquement pas la pisse couler dans ma gorge, je sentais simplement mon ventre se remplir… Il a pissé très longuement, sans stopper une seule fois, j’ai tout eu dans la tronche d’une seule traite…
Je lui ai dit que je faisais une pause et il m’a de suite sortie une bouteille de Poppers de sa chaussette et l’a ouverte en me la proposant… Je n’ai pas pu résister et j’ai reniflé ce produit enivrant qui m’a rendu encore plus excité de ce que je l’étais déjà…
Je me suis remis sur les genoux et j’ai dis oui pour un dernier mec, mais vraiment le dernier, car je n’arrivais plus à boire, j’étais rempli… Un mec s’est présenté devant moi et m’a regardé avec un sourire en coin tout en me disant que j’avais de la chance car il avait bu beaucoup de bière et qu’il avait grave envie de pisser…
J’ai été surpris par la force avec laquelle il a chopé ma tête entre ses mains et à rentré sa bite dans ma bouche… Deux secondes après son premier râlement de plaisir, il se vidait dans ma bouche, il y allait doucement, pas comme les autres… La pisse sortait par petites saccades, comme des jets de foutre, mais plus liquide et plus chaud. Ce jeu-là me faisait bander grave et je mouillais à fond sur le carrelage des chiottes…
Je me masturbais la queue tout en avalant ces jets de liquide chaud et surtout très bon, un goût d’eau en quelque sorte… Enfin, ça dépendait qui, mais celui-là, sa pisse était trop bonne…
Après avoir fini, j’ai proposé au mec d’aller faire un tour pour voir s’il y aurait moyen de se taper un bon plan cul à plusieurs…
Nous sommes sortie des chiottes et on s’est dirigé vers le sous-sol du club naturiste, nous avions tous les deux la bite bien dure, la mouille au bout du gland… La bouche bien baveuse prête à assouvir des bites à outrance…
On s’est avancé vers le sling en cuir noir et il m’a demandé si j’acceptais de me mettre dessus. Je me suis prêté au jeu et me suis allongé sur le sling… Le mec m’a ficelé les pieds et les mains avec les lanières de cuir qui pendaient aux quatre coins du sling. J’avais la tête en arrière, vers le bas…
Il m’a fait renifler du Poppers tout en me disant que j’en aurais bien besoin et qu’il restait près de ma tête pour m’en donner de temps en temps…
Un mec s’est approché en se masturbant la bite. Mon pote de soirée qui me donnait du Poppers lui a dit qu’il pouvait se défouler s’il voulait, que j’étais à Dispo !
J’ai senti dans un premier temps des doigts qui me foulaient l’anus avec du gel. J’ai senti bien après, sa queue me rentrer dans le cul, d’un coup franc et direct. Il a enchaîné directement les vas et vient dans mon orifice à disposition… Le sling allait et venait au rythme de ses coups de bite dans mes fesses…
Un attroupement de mecs s’est formé autour du sling, j’étais devenu en quelques minutes la coqueluche de la soirée, la lope à baiser… Les mecs s’approchaient de plus en plus, une bite s’est infiltré dans ma bouche, le mec me donnait du Poppers, les coups de bites se sont intensifiées jusqu’à me défoncer la glotte…
Le mec qui me bourrait le trou du cul à jouie le premier, je sentais bien ses jets de foutre remplir mon anus… Le mec qui me pinait la tronche a juté aussitôt après dans le fond de ma gorge… J’étais remplie de jus par les deux bouts quasiment en même temps, heureusement que je ne pouvais pas me toucher la bite, sinon, j’aurais juté depuis longtemps… Mes mains et mes pieds étaient toujours attachés.
Je ne sais plus combien de mecs ont baisés mon cul et ma bouche ce soir là…. Mais beaucoup…
Soudain, j’ai senti une bouche se poser sur ma bite ! Un mec s’est mis à me sucer et à me faire des gorges profondes… J’ai éjaculé en même temps que le mec qui me baisait la gorge, son jus rentrait dans ma bouche et je crachais le miens dans la bouche d’un autre… J’étais comme au paradis…
Je suis resté quelques instants allongé sur le sling pour reprendre mes esprits, le me qui m’avait fait juter ma détaché les mains et les pieds.
A peine sortie du sling, que le mec occupait déjà la place… Je comprenais alors qu’il m’avait fait jouir rapidement pour prendre ma place sur le sling…
J’ai passé le reste de la nuit à l’étage au bar avec mon pote de la soirée et je suis rentré me coucher au petit matin…
J’ai passé une soirée mémorable.
lundi 10 mai 2010
Histoire 3 : L'approche du BAC
Ce n’était pas arrivé à Charlie depuis qu’il avait eu 15ans, il l’avait décidé et ce fut le STOP. Aujourd’hui, il était perdu dans ses pensées, perturbé par ce qui s’était passé cette nuit et en revenait à considérer ce qui avait marché jusqu’ici et qu’il n’avait pu empêcher ce matin là…
Flashback
L’été de ses 15 ans, il avait vu son père partir avec une autre femme qui riait plus souvent au coté de son père que sa maman qui aurait du être à sa place. Il l’appelait « ma collaboratrice » et dans ses réceptions qui n’en finissaient pas, il ne trouvait à l’époque rien qui prêtait à sourire. Tout le monde s’empiffrait de petits fours et de victuailles, de mixtures et d’alcools forts qu’il n’appréciait pas. Et ce déjà parce que dresser ses buffets lui volait sa maman le temps qu’elle organise, prépare et dispose ses mets pour les invités de son père. Charlie aurait aimé une vie plus simple et rêvait de pouvoir et se retrouver plus souvent avec ses parents. « Vivre en famille, c’est ce qui lui manquait pour comprendre ce monde », il se souvenait l’avoir hurlé un soir, peu avant que la décision se prenne. La décision de se séparer. Son père devait rejoindre la métropole pour nourrir ses ambitions, disait-il. Maman appelait ça s’est prétentions. Elle s’opposait à quitter son île, ses Antilles pour faire de la représentation ailleurs. Charlie était son protégé, son petit dernier et elle voulait le voir grandir ici comme les deux autres. Elle l’avait dorloter, cajoler… assurer qu’il serait toujours la pour elle comme elle l’avait toujours été pour lui jusqu’ici.
Son père parti donc à Paris avec « sa collaboratrice » en juin et en Septembre son frère cadet parti le rejoindre prétextant que son cursus universitaire ne pouvait que se poursuivre là-bas. Antoine voulait d’ailleurs tente de vivre avec son père mais assez bizarrement celui-ci avait refusé préférant qu’il habite avec l’ainé de la famille, Francois, à Rennes.
L’été de ses quinze ans, le 26 Aout précisément, Charlie restant seul avec sa mère avait donc compris qu’il fallait malgré lui devenir l’homme de la maison et ranger au placard sa panoplie et son comportement de petit garçon. Il serait appelé à assumer seul des choses de son quotidien si maman devait de nouveau travailler. Le déclic précisément il l’avait eu la nuit suivant son anniversaire. Il avait soufflé les quinze bougies du gâteau et danser toute l’après midi à l’occasion d’une réception que maman avait organisé cette fois pour lui seul. Enfin il avait pensé que celle-ci avait aussi organisé cette fête pour dire au revoir à son frère cadet et à sa vie de femme marié, sa vie de femme de préfet. Il y avait toute sa famille, cette fois réunie pour lui. Ses deux frères qui rentraient le lendemain sur Paris, ses tantes, ses cousins, ses copains. Pas son père… lui était «excusé », il avait envoyé un ordinateur portable en guise de cadeau pour que Charlie compose sa musique, joue aux jeux multimédia, fasse ses études et accessoirement utilise Internet pour dialoguer avec lui. C’est ce qui était écrit sur la lettre qui accompagnait le colis, une feuille A4 tapé dans un traitement de texte, imprimé et même pas signé de sa main. Charlie avait oublié vite le sens de ce cadeau et avait profité de cette après midi jusqu’au couché de soleil sur la plage de St Anne. Il avait bu les jus de fruit préparé avec amour comme s’il pouvait s’en rendre ivre et il avait zouker avec tout le monde. Sa tante Jasmine avait même dit « Charlie, est une petite fleur qui vient d’éclore »…Il a été difficile de s’endormir parce que difficile de se calmer et difficile d’admettre que demain tout serait autrement. Fatigué, du sommeil du juste, il s’était pourtant sur son lit qui l’avait vu grandir en regardant les étoiles.
En pleine nuit, il s’était réveillé parce que un véritable geyser l’avait inondé jusqu’au visage. Et il se retrouvait à 15 ans au creux de son lit mouillé sur le torse et tout autour de la taille. Rien n’avait changé, tout devait changer pourtant. Il se leva et cette fois tira les draps. Il culpabilisait de ne pas avoir pris le temps de se laver les dents et prendre dans l’armoire de toilette les change complet avec lequel il avait grandit. Cette fois il tira les draps pour les mettre dans la machine à laver. L’alèse avait joué son rôle et le protège matelas imperméabilisé compléta de remplir le tambour de la machine. Il ferma donc la machine en y jetant son tee-shirt. En temps normal quand cela arrivait parce qu’il avait oublié, parce que la couche avait glissé ou parce que le dispositif de nuit avait fuit, il se contentait de glisser du lit et de dormir par terre en attendant le matin que maman s’occupe de tout. Certaine fois il faisait une deuxième fois sur la descente de lit. Se rappelant ces événements, il choisit de prendre une couche, l’ajusta autour de sa taille et la fixa autour de sa taille pour terminer sa nuit directement allongé sur le matelas. Là encore il eut du mal à s’endormir de nouveau…il avait quinze un et un jour et il était toujours le bébé de maman et mouillait encore son lit un jour sur deux. Cette nuit là, il avait bu trop de jus et le médecin qu’il voyait régulièrement le jeune ado avait dit qu’il fallait « limiter les boissons après 18h, tu as une petite vessie et ne fabrique pas suffisamment de vasopressine » Par conséquent il fallait attendre qu’il grandisse et en attendant « Pense à faire une bonne miction avant de te coucher, à défaut prends des précautions pour le confort de tous »
Il réveilla encore ensuite et plus tard dans la nuit. Cette fois, il fonça à la salle de bain. Ses intestins le tordaient et il eut juste le temps de glisser la couche sur ses talons avant d’en essorer le contenu. La situation n’était pas désespérée mais presque. Il remonta son lange et l’ajusta avant de refaire le chemin inverse, pensa à mettre du déodorant avant de quitter les lieux …puis tomba nez à nez avec son frère aîné François qui appréhenda très mal la situation. Il venait de rentré d’une dernière sortie avant de repartir en France, avait pas mal fumé avec ses copains locaux et avant de pouvoir trouver le sommeil avait été alerté par les petites foulées de Charlie puis par l’odeur qui maintenant hantait le couloir. François remarqua d’abord le tambour de la machine ouvert avec les draps et le tee-shirt sentant le pipi. Puis il considéra la tenue de son frère « non mais j’hallucine, tu as encore une couche sur le cul à 15 ans, je pensais que ça t’était passé et en fait c’est de pire en pire tu te chie dessus maintenant … ? » Charlie n’avait pas pu contrer cette attaque frontale. Il tentait de justifier qu’i ; n’avait pas salit son change mais que dire déjà de ce que François tenait entre ces mains (le tee-shirt mouillé d’urine), qu’elle différence ça faisait ? François embraya « … tu m’étonnes que papa se casse au contact d’un tel dégénéré dans un pays trop petit et trop étriqué » avait il dit tout en se dirigeant vers sa chambre et en laissant tombé le tee-shirt sur le sol. Il ferma la porte en ajoutant « et puis ça pue ici fait quelque chose ». Sous la colère, Charlie s’effondra en larme et il s’asseya en face du tee shirt flanqué de l’inscription « « . là , il dit stoppe.
Ce dernier incident et cette culpabilisation l’aida a grandir. Il mettrait en pratique les conseils du docteur mais n’accepterait plus l’achat de change complet. Il ferait d’ailleurs les courses avec sa mère et n’imaginait pas poser un paquet de change dans la caddie, quelquefois qu’on rencontrerait quelqu’un de leur connaissance.
Le lendemain l’incident avait été los par leur mère qui protégea une fois encore Charlie des lazzis et quolibets des frangins et ses frères rejoignirent la métropole pour le laisser seul avec maman et les problèmes… d temps en temps ils donnèrent de leurs nouvelles à leur mère mais très peu souvent s’inquiétèrent sur son sort.
Pourtant il assuma et se transforma un peu….
Retour de flashback
Aujourd’hui, deux ans avait passé et avait permis de se forger un caractère et une nouvelle vie au coté de sa mère alors pourquoi ce matin y’avait il eu cette panique. Sa mère était venue le réveiller avant de partir au travail à l’hôpital. Elle était devenu aide soignante et profiter des relations de son mari de préfet pour travailler dans l’hôpital le plus proche Elle avait même toujours pu prendre la tranche horaire du matin pour être présent le plus possible le soir auprès de son fils. Il avait juste le temps de rabattre la couette légère sur lui en l’entendant marcher dans le couloir et avant d’entrer dans la chambre. Il lui disait souvent désormais de frapper avant d’entrer car il avait pour elle un peu plus de pudeur et en clair craignait qu’elle remarque ses érections matinales ou ses pollutions nocturnes auxquelles ils s’adonnaient en pensant à diverses choses…Elle lui caressa les cheveux et tenta de lui embrasser la joue. Mais il l’en dissuada en faisant s’emblant de se réveiller « je reste encore un peu au lit.. ». Maman de broncha pas pourtant ils avaient l’habitude de prendre le dernier café ensemble avant de partir. Mais ce matin là, il resterait à la maison pour préparer le bac. L’épreuve de philo approchait, puis les autres… Charlie s’en souciait et maman le savait. Charlie voulait ensuite faire une école d’hôtellerie pour travailler dans un de plus bel hôtel de Guadeloupe, espérait il. Il avait simplement convenu avec son père un contrat qui était « passe ton bac mon fils ».
Après avoir retrouvé ses esprits, il devrait donc mettre ces forces dans la concentration, la méditation philosophique sur l’art, le travail, la passion, la morale. Le lit était mouillé et ce matin là il n’était pas question de plaisir de son âge mais d’une nouvelle inondation a dissimuler…Mais pourquoi ? Il avait rêvé avoir une couche et ne pas pouvoir la retirer et de l’avoir utilisé. De fait il n’en avait pas. Il se leva donc pour laver les draps comme pour cette fameuse nuit qui suivait la fête de ses quinze ans qui le revint en mémoire. Il en avait maintenant 17, 18 bientôt. Des que la porte de la maison se referma il sortit de sa léthargie. Il repoussa la couette qui lui tenait chaud et constata les dégâts. Son urine concentrée lui imposa de se lever vite et à la place de son corps, restait une petit flaque qui très vite disparu. Il enfila une tunique longue qui lui recouvrait le corps jusqu'à la moitié de ses cuisses fines, tira les draps et la couette, roula le protège matelas imperméabilisé qui avait joué son rôle et amena son paquetage dans la machine. Depuis il avait appris à faire la lessive et a faire fonctionner la machine à laver. Avec un peu de chance, la literie serait sèche avant le retour de maman en milieu d’après-midi.
Il prit son déjeuner devant Roland Garros tout en réfléchissant à tout ça. Il adorait ce sport et le pratiquais depuis l’âge de 10 ans avec les encouragements de son médecin, de ses copains et de sa maman qui venait le voir jouer en tournoi quelquefois. Mais tout se mélangeait a cet instant, ces doutes de pouvoir devenir un homme et de pouvoir en faire la preuve dans le sport, car il n’était pas très bien classé, par son instruction car il n’était pas un premier de la classe, dans son corps car si il s’était tout de même un peu développer, il restait de taille moyenne, plutôt fin et de nouveau fragilisé par l’événement de ce matin.
A quoi l’attribuait-il ? La veille il avait étudié pendant que sa mère repassait le linge. Il s’était coucher relativement tôt parce qu’il s’était imposé un rythme de vie équilibré entre révision, un peu de plage et de musique. Il avait été voir sa tante en vélo à St joseph et en était revenu avant 16h avec les poulets que maman lui avait commandé. Cela avait été un dimanche comme il aimait peu car c’était un de ceux ou maman travaillait (1/4). A son retour maman avait vidé les poulets pour les mettre au congélateur et lui avait raconté qu’un jeune patient du service était décédé d’une leucémie. Apparemment cela l’avait émue jusqu’au point de redouter de perdre son fils. Charlie se sentait dans ces moments là essentiel pour quelqu’un et lui promettait de rester pour toujours à ses cotés…Pour la première fois, elle lui avait dit ne pas le croire vraiment et que chacun devait tenter l’aventure. Il en avait été triste mais avait cherché avant tout à divertir sa mère en lui montrant un nouveau pas de danse. Il était désormais de la même taille que maman et faisait régulièrement zouker sa partenaire dans la salle de séjour. Il avait néanmoins repensé a tout ça avant de s’endormir. La mort pouvait les séparer plus tôt que prévu et ce qui était prévu, c’était « jamais ». Etait ce donc cette perturbation qui l’avait poursuivit dans la nuit jusqu’à l’accident du matin ?
La retransmission enchainait les matchs sur les différents courts, Charlie voyait des joueurs très jeunes résister au plus grand. Son préféré était Richard Gasquet, qu’il encourageait… Lui était il possible d’imaginer celui ci pisser au lit à son âge et devoir porter une couche le soir ? Il avait déjà observé ses partenaires de jeu en pensant à ca lorsqu’il avait débuté à faire du tennis. Peut être d’autres garçons du lycée était comme lui ? Le médecin avait dit que 10% des jeunes garçons notamment était énurétique jusqu'à 8 ans et il représentait 1% des jeunes avant l’âge de la puberté. La sienne s’était produite tard mais il avait attribué l’arrêt de ses manifestations nocturnes à sa volonté, celle de ne plus se faire humilier, celle de devenir la jeune homme entre le petit garçon de maman et l’homme qu’on attendait qu’il devienne (son père, ses frangins et les autres…) Il s’installa devant le poste de télévision, un précis de philosophie à la main. Il l’ouvrit à la page du sujet qui était tombé l’an dernier « Pourquoi l’homme doit travailler ? » et aucune de ses réponses spontanées ne semblait convenir. Né d’une mère guadeloupéenne et d’un père breton, il avait une image que familial du travail. Il ne voyait dans la travail que contrainte nécessaire pour s’offrir un confort de vie et perpétuer celui dans lequel il était suffisait. Il n’était pas question consciemment de s’accomplir par le travail même si dans l’absolu il était un garçon qui aimait rendre service. S’endormant sur les théories de Marx sur le sujet, il n’avança guère ses révisons ce matin là. Il se réveilla dans l’impérieuse situation de devoir vider sa vessie. Il parvint à se retenir jusqu’au lieu ou il pouvait se soulager. Une étrange sensation le prit, la panique de ne pas avoir l’examen parce que il prenait conscience qu’il y avait trop a faire d’ici la semaine prochaine en philo, en économie, en mathématique… et puis la panique de redevenir incontinent. Les échéances se faisaient jour, le bac, la vie après avec ou sans maman. Cela dura jusqu'à ce que maman revienne. Il était angoissé et n’avait même pas pensé à étendre le linge… et maman le fit. Elle le questionna depuis la salle de bain ou se trouvait la machine « pourquoi as-tu changé tes draps je l’avais fait il ya quelques jours ? ». Il ne répondit pas. Quand elle apparu dans la salle de séjour elle comprit que la question avait fait craqué Charlie qui pleurait derrière son bouquin de révision. Dans un sanglot il ne pu que bredouiller « je n’y arriverais pas ». Maman ne comprenait pas de quoi il parlait et lui demanda en s’asseyant à coté de lui. Il se blottit alors comme il le faisait toujours, renversa sa tête sur les genoux de sa mère pendant qu’elle lui caressait la tignasse en remontant sur son crane. Charlie ne se calmait pas, il tremblait de tout son corps. Un long silence s’installa…puis il lui dit qu’il l’aimait qu’il l’aimait vraiment et qu’il ne voulait pas être un poids. Elle ne comprenait pas. Il lui expliqua qu’il ne voulait pas qu’elle meure et qu’il était partagé entre grandir et rester comme ça. Elle lui expliqua alors que personne ne pouvait s’empêcher de vieillir et que ca lui arriverait à lui comme à elle. Il accepta ce constat puis libera un peu plus sa conscience. « J’ai salit mon lit ce matin.. C’est pour ça les draps ». Il n’était pas sur la même longueur d’onde comprenant ce qu’elle avait déjà constater en changeant le draps housse de son fils, elle lui répondit « bah tu vois c’est que tu deviens un homme, d’ailleurs je le remarque jour après jour , j’ai d’ailleurs acheter des draps de couleurs clairs pour remplacer les tiens ». « Non tu comprends pas maman. J’ai pisser au lit, je te dis… je me suis pas rendu compte. Ca n’a rien a voir avec de la semence de jeune male en rut » Sa mère le regarda avec les yeux qui brillait car les propos de Charlie était à la fois rudes et touchant. « T’inquiète pas ce n’est qu’une manifestation isolée. Ca fait maintenant longtemps que tu as franchit le cap… ». Oublie ca tu es un peu stressé par les examens vient plutôt m’aider à préparer le repas… Charlie s’exécuta, ce soir on mangerait le colombo de poulet qu’il aimait tant.
On ne parlait ni hôpital, ni bac, ni de l’incident de ce matin de toute la soirée. Charlie lisait ses notes de cours pendant que maman lisait un livre sur l’art des massages.
De temps en temps la discussion était déclenché par la lecture de l’un ou de l’autre. Des réponses brèves aux questions tombaient à « peut-on vivre sans passion » « bien sur que non ma passion c’est toi répliquèrent ils en cœur». Elle expérimentait l’art du massage sur la plante des pieds sur son fils qui d’abord les qualifia de chatouilles et ensuite y prenait gout.
Puis ce fut le moment de se coucher, maman vit que Charlie était préoccupé de nouveau en se brossant les dents. Elle le laissa un instant seul dans sa chambre et avant de rejoindre la sienne, elle vint embrasser son fils. Il lui répondit bonne nuit sans le ton habituel. C’est alors qu’elle lui proposa « j’ai conservé dernier sac de couche. Si ca peut te rassurer … ? » Il se retourna vers elle, pensa un instant dire non puis se ravisa… « tu es sur que ça ne va pas être au contraire un facteur d’aggravation » il n’y a que toi qui voit. Amène les… et maman revint avec le sac de Pampers junior qui avaient un peu jaunit. Il en restait 3 dedans avec quelques culotte plastique que Charlie avait mis autrefois quant il était plus enfant. Je te les pose la tu en fais ce que tu veux » Charlie reprit donc connaissance avec ses culottes fermées « de torture » dans lesquelles il ne pourrait pu rentrer. Une culotte a pression trop petite. Puis il développa un lange. L’ennui était que sur le paquet était écrit 20 à 35 kilos et que désormais il en faisait 52. Pour autant Charlie les essaya. Il n’arrivait pas à fermer la couche mais entreprit de mettre un slip de bain par-dessus et cela ferait l’affaire. Il s’endormit comme ca. Au lendemain al couche perdue dans un enchevêtrement de couette et de vêtements et le dispositif n’avait pas été efficace. Quand maman passa la tète Charlie était endormi, cul nu apparemment au sec. Elle le réveilla, il paniqua cherchant désespérément sa couette et dressant rapidement un état de la situation. Il était au sec, non en érection comme souvent le cas le matin et tout allait bien. Il se leva et bu son déjeuner avec maman. C’est elle qui prit l’initiative de dire « je sais ou trouver des changes pour adulte a l’hôpital ? je t’en ramènerais par précaution »
Charlie était rassurer il rangea sa chambre et parti réviser sur la plage. Le soleil lorsqu’il n’était pas trop haut dans le ciel lui convenait très bien et il avait envie de nager un peu. Il y avait peu de monde et il pouvait s’adonner à son drôle de jeu qui consistait à nager sans maillot à l’abri des regards indiscrets. Il alla plusieurs fois prendre un bain de soleil entre quelques révisions sur son programme d’histoire/géographie. Il faisait des impasses sur la Russie et les guerres mondiales mais il s’intéressait à l’histoire de la IV e et V e république et de ses colonies, aux états unis et à la chine. Il aurait voulu approfondir la question de l’esclavage et l’émancipation des peuples, du tiers et du quart monde. Il revenait essoufflé d’avoir joué dans l’eau a faire quelques culbutes. Dans l’eau il se sentait en harmonie avec son corps. Sous les palétuviers, les palmiers il se sentait bien. Ce matin là aussi il s’endormit. A son réveil les alizés tournaient les pages de ses cahiers et les pages du livre d’histoire. Un garçon l’observait et l’aborda « tu révises ? » Il répondit qu’il essayait parce que c’était pas évident entre la télé, la musique, le soleil… il expliqua à ce jeune métropolitain en vacances que sur ile tout est différent et que ce qui peut être important la bas l’est peut être pas autant ici. Le jeune garçon lui dit être en vacances et que c’était que l’an prochain qu’il passerait le bac de francais. Il sympathisa et offrit un sorbet coco son benjamin en sortant de la plage. Le gamin le raccompagna jusque chez lui car il habitait a 50 m de chez lui le temps des vacances chez sa sœur. Il lui proposa de venir le chercher demain pour aller à la plage. Charlie lui répondit « ok, si je suis courageux ».
Charlie n’avait jamais eu le regard sur quelqu’un plus jeune que lui. Le gamin était certes très différent de lui mais il s’était senti en confiance avec lui. Il continua ses révisions toute l’après-midi jusqu’au retour de maman. Il devait aller aux courses ensuite avec elle.
Il lui raconta sa journée sur la route du supermarché. Il allait à pointe à pitre pour un ravitaillement complet. Charlie avait besoin de céréales et de barres chocolatées pour les examens etc.…Le caddie était plein. Il ne manquait que les produits d’hygiène corporelle et les sodas. Il resta un temps a choisir les rasoirs qu’il lui fallait pendant ce temps maman alla chercher ses propres produits et toucha un mot a Charlie sur le fait qu’il vendait ici des produits pour l’incontinence style pull up et même coquille Tena plus discrètes si besoin. Charlie refusa d’en acheter. Il fila aux sodas en rappelant ce que sa mère lui avait dit ce n’est qu’un petit événement et il lui rappela que cette nuit tout s’était bien passé.
En rangeant les courses dans le coffre, il constata que sa mère avait pensé à mettre deux cartons pour ranger et porter les courses ensuite. Il allait pour les ranger dedans lorsqu’il comprit qu’ils n’étaient pas vides. L’un était en fait un carton de deux sacs de couches adultes nuit et l’autre d’autres couches en vrac de différentes tailles et couleurs. Constatant son embarras elle se justifia en disant qu’elle les avait récupérer dans la chambre d’un malade qui en avait plus besoin et que sa collègue lui ayant demandé pourquoi elle les prenait, lui en avait donner un carton complet. Voila donc que Denise était au courant de son problème de l’autre soir. Il monta dans la voiture vexé et n’ouvrit pas la bouche avant d’arriver à la maison. Le gamin jouait au cerf volant lorsqu’il se garait devant la porte « A c’est toi Charlie ? Ca va ? Bonjour madame… » Charlie commença a retirer les courses du coffre pour les monter a l’étage au il habitait et le gamin proposa d’aider, ce que maman accepta. Elle pris le carton d’échantillons qu’elle compléta des légumes et de quelques conserves et confia l’autre au gamin. Charlie avait pris les devant et ouvert la porte lorsqu’il comprit que le colis que tenait en main son compagnon de plage était gênant. Il demanda ou le poser et maman répondit « dans la chambre de Charlie ». Elle posa le sien dessus repris les légumes et conserves et se dirigea avec ces éléments dans la cuisine. Or une couche dépassait du carton. Charlie ferma la porte et contenait sa colère.
Il sorti dehors et proposa au garçon de l’aider a manier son cerf volant. Il avait l’expérience des alizées. Pendant une demi-heure il s’amusa à initier son jeune voisin pour dompter les courants aériens. Il apprit que celui-ci s’appelait Romuald et sœur et beau frère était gendarme muté depuis quelques mois en Guadeloupe et qu’ile venait en vacances pour en profiter. Maman appela pour manger et la sœur de Romuald cherchait son frère partout. Ils rentrèrent donc tous les deux en se rappelant que demain ils se retrouvaient sur la plage.
Le repas fut vite fait cette fois et Charlie au dessert demanda à sa mère de faire plus attention que son copain de plage n’avait pas a savoir ses petits secrets.. Elle le prie de l’excuser et lui dit qu’elle avait cru bien faire en lui rapportant des changes adaptés. Que c’était pour son confort et que c’était très bien s’il en avait pas l’utilité. Elle rigola en lui disant que c’est « peut être elle qui les mettrait dans ces vieux jours ». Il n’osait pas répondre. Sa maman était éternelle et ne pouvait pas vieillir et d’un seul coup les couches passaient d’accessoires de puériculture à instruments de gérontologie.
Il se dirigea vers sa chambre l’âme en peine. Sa mère n’était pas fier d’elle. Elle repensa à Charlie à l’âge de Romuald, les choses étaient plus simples. Charlie avait grandit c’était indéniable. Et les couches trahissait sa transformation depuis quelques années, s’il fallait en apportait la preuve. Mais ca elle le savait déjà même si Charlie avait plus souvent récupère les ancienne fringues de ses frères qu’il n’avait été exigeant sur l’achat de vêtements pour accompagner son développement. Elle s’assit devant la télé en continuant son ouvrage de patchwork en tissus créole. Elle tournait quelquefois la tête pour vérifier que Charlie était toujours dans sa chambre en train de réviser. La lumière était faible et elle entendait un fond musical qui montrait que Charlie veillait.
Il ressortit de la chambre dans sa tunique mouillée, une couche dans la main droite. « Explique-moi comment elle se fixe » lui demanda t’il pour tout commentaire. Elle lui demanda de s’allonger sur le canapé et sa maman le langea. La couche de marque attends comportait un dispositif a fixer autour de la taille avant de rabattre le volet et le fixer par deux adhésifs. C’était très pratique pour ouvrir la couche et l’ajuster lui dit sa maman. Elle lui confia que elle faisait la toilette de beaucoup de gens le matin et par conséquent avait garder l’habitude de lange et des petites manifestations au moment du change. Cette couche lui allait très bien mais il fallait réparer l’accident. Elle lui demanda donc ce qui s’était passé. Il s’était simplement endormit sur son lit avec son bouquin en pensant aux dernières heures de la journée. Et le schéma s’était répété, dans son rêve il était avec Romuald et il jouait dans l’eau, le portait sur ses épaules et le lançait dans l’eau. Et c’est au moment ou il montrait a Romuald son jeu préfère nager sans maillot qu’il s’était réveiller « … c’est marrant de pisser dans l’eau directement… » et vlan le lit était aspergé… Sa mère le rassura « écoute garde cette couche cette nuit, tu es perturbé, ça reste notre secret et on verra ça demain. Je vais chercher les draps secs sur le balcon et on va lancer une lessive que tu étendras demain matin. Le lit étant fait Charlie trouva ridicule de rester en simple couche. Il enfila donc un pyjama et rejoignait sa mère sur le canapé. Une émission en langue locale sur l’intégration des haïtiens et l’augmentation du flux migratoire qui faisait augmenter la population en forte dépendance sociale captiver l’attention. Charlie se releva pour aller chercher de quoi boire, il voulait se faire un lait au cacao et se le prépara dans son biberon. Sa mère lui dit « tu exagères » ce a quoi il répondit « au point ou j’en suis. Tu te rends compte je m’endors n’ importe où et je peux me pisser dessus… » « Fais moi confiance, mon fils tu n’es pas le seul et ce n’est pas la maladie ça. Profite du temps présent et tu as de quoi passer tes épreuves et tu verras que tout ira mieux après… » Il partit se coucher après avoir terminé son biberon à coté de maman. Elle en profitait pour cajoler son fils et le caressait inconsciemment comme quand il était enfant. Sur le tee sur son torse et même sur son entrejambe. Elle lui claqua sur le cul lorsqu’il se décida a rejoindre son lit tombant une nouvelle fois de sommeil en face de se documentaire dans une langue qu’il avait plus de mal a suivre, même s’il avait été en partie bercé avec.
Le lendemain il se leva sans même y penser et rejoignit sa mère dans la cuisine. C’est la qu’il pensa a la couche. Il inspecta l’indicateur d’humidité qui lui révélait qu’il s’était oublié dedans ou bien qu’il avait beaucoup transpirait. Peut importait il avait eu une bonne qualité de sommeil. Après le déjeuner il se changea et remarqua que sa couche était pleine d’urine mais avait aussi de plaisir qu’il avait sans doute eu à dormir ainsi. La couche tomba sur le sol et il resta nu à contempler les traces dans le lit. Manifestement la couche avait fuit. Ce soir il en essaierait une autre. Il jeta la couche dans la poubelle de sa chambre et enfila son maillot de bain. Il profiterait de son premier bain pour se laver dans l’eau salée. Il était 9heure déjà et Romuald sonnait à la porte avec un ballon et sa serviette de plage. Il attrapa la sienne et le rejoignait. En descendant celui-ci lui fit remarquer qu’il n’avait pas pris de bouquin pour réviser et que s’il voulait il pouvait l’aider a réviser… il se demandait comment Romuald pouvait lui être utile autrement que de lui rappeler qu’il avait a réviser. Il fouilla dans sa chambre pour trouver ce qu’il allait emmener pour bachoter…Romuald le suivait. Ils partirent à la plage et partagèrent une tranche d’amusement aussi forte que dans son rêve de la nuit. Il se séchèrent au soleil puis allèrent à l’ombre se consacrer a leur lecture de plage. Romuald se coucha sur le dos et lisait un livre de poche et Charlie son abrégé de sciences économiques. Manifestement c’était plus plaisant de lire le bouquin de Romuald que celui de Charlie car rapidement Charlie éprouva le besoin de repartir à l’eau pour éviter de s’endormir a nouveau ce qu’il ne voulait pas risquer devant son nouvel ami. Romuald se fit attendre et quand il se leva il remarqua que Romuald était en semi érection. « Ah je vois…tu étais entrain de mater » « rien du tout lui répondit-il, Ca arrive c’est tout… » Charlie ne chercha pas à comprendre et Romuald rentra dans l’eau rapidement pour dissimuler rapidement son état. Ils firent quelques mètres au large avant de retirer leur sous vêtement de plage comme lui avait appris Charlie. Et la ils firent encore quelques culbute dans l’eau, allèrent chercher du sable en apnée de plus en plus profond puis se firent couler l’un l’autre. Et puis il reprirent pied. Romuald tenta de faire tomber Charlie et les deux jeunes se chevauchèrent Charlie tenta de se dégager mais Romuald le tenait, il en profita pour l’embrasser et se releva.
Charlie « pourquoi tu as fait ca ? »
Romuald « je ne sais pas … tu as une énergie que j’avais envie de récompenser»
Ils regagnèrent le rivage et s’allongèrent cote à cote pour reprendre leur souffle. Charlie était perplexe, il voulait se cacher, oublier alors que Romuald ne semblait absolument regretter. Il expliqua que dans sa famille quand on s’apprécie on se boujoute et Charlie expliqua que chez lui seul sa mère lui donne de l’affection. Romuald compris que Charlie semblait quelque part le regretter. Charlie ne répondait pas. Romuald lui demanda si ca l’avait déçu. Charlie répondit que non. Romuald temporisa puis le demanda s’il pouvait l’aider … ils parlèrent donc économie une heure ou deux… puis ils répartirent à l’eau avec le ballon de plage. Qu’ils habillèrent du short de bain de Romuald. Ce ballon jouait le rôle de but a atteindre et pour le premier arrivé dessus de bouée pour pouvoir récupérer de l’effort des quelques mouvement de natation réalisé. Romuald semblait prendre l’ascendant et au troisième objectif Charlie aurait aimé reprendre son souffle. Romuald lui dit alors rend moi le baiser de tout a l’heure et on est quitte. Charlie hésita puis lui Renda et s’agrippa a lui. Dans le mouvement Romuald prolongea le baiser et enlaça Charlie. Romuald plus fort que Charlie bien qu’un peu plus jeune avait Charlie a sa merci. « Lâche-moi maintenant lui dit Charlie. Charlie s’éloigna puis revint prés de lui dans l’eau transparente il était évident que Romuald éprouvé du désir même dans l’eau. Charlie se laissa de nouveau attraper et lui aussi commencer a bander. De nouveau sur la plage ils rénettèrent leur maillot de bain Romuald lui dit le premier « excuse moi c’était pour rire tu sais… » et Charlie ne savait plus comment le prendre. « C’est mon livre qui me donne des idées ca parle de deux jeunes ados qui tombe amoureux l’un de l’autre alors qu’il s’emploie à trouver une fille a draguer dans la campagne ou ils se trouvent. Charlie lui demanda s’il comptait tout exprimer comme ca car en parcourant le livre la description était pour le moins prometteuse. Pour toute réponse il eut « ca dépend de toi ! » et Romuald posa alors sa main sur la fesse gauche de Charlie.
Charlie se décala et lui dit qu’il avait à étudier et qu’il pouvait jouer avec son cerf volant. Romuald fixa ses yeux dans ceux de Charlie lui rétorquant qu’il n’était plus un enfant et qu’il savait très bien ce qu’il avait à faire. Il resta là replongeant dans son bouquin et un silence s’installa entre les deux garçons. « Tu es malade ? » demanda Romuald à Charlie ? Charlie secoua la tête. « Non mais je bosse le bac c’est la semaine prochaine et je ne suis pas encore en vacances moi » Romuald « ah bon, je croyais… ». « Non mais arrête de parler j’ai besoin de me concentrer c’est la 5eme fois que je relie le même paragraphe ». Alors Romuald se leva et essaya de mettre en pratique les règles appris la veille pour faire lever le cerf volant au ciel… Charlie le regardait. Il évoluait dans dans son slip de bain a rayure blanche et rouge et le des lors que le cerf volant avait pris son envol s’appliquait à faire des figures a genoux dans le sable. Quelquefois le cerf volant retombait et il dut aller le chercher dans un groupe de jeunes que connaissait Charlie mais qui n’était pas concerné par le bac. Un jeune mec avec un bandana lui aussi regardait Romuald avec un grand sourire. Charlie ramassa ses affaires car il avait fin. Apres tout Romuald pouvait continuer il fallait qu’il pose son regard ailleurs. Romuald remarquant que son nouvel ami partait l’interpela « attends un peu, je me rince et j’arrive. Romuald fit un plongeon dans l’eau, alla chercher sa serviette de bain et rattrapa Charlie. « C’était a moi de payer le sorbet coco… » Mais Charlie avait dépassé les vendeurs et n’était disposé à faire demi tour. Romuald marchait pied nus plus difficilement que Charlie car il avait moins l’habitude. Il se blessa et s’arrêta. Charlie continue.. Ralentit puis se retourna pour finalement revenir au niveau de Romuald. « tu vois, pour moi tu peux faire demi tour… j’ai envie d’une boule coco, vient après je te laisse tranquille. De toute façon ma sœur et mon beau frère ne sont pas là. Je devais manger sur la plage. » Charlie tendit la main a Romuald qui s’appuya sur lui en profitant un peu. Mais Charlie ne le sachant pas lui dit qu’il y avait plus rapide à aller chez lui maintenant pour voir s’il pouvait soigner cette petite coupure. Les deux jeunes se rendirent donc chez Charlie. Il laissa un instant Romuald sur le canapé du salon pour aller chercher des produits de désinfection dans la pharmacie…Charlie cherchait l’eau oxygéné et un peu de teinture d’iode pour soigner le pied de son ami. Romuald se releva et remonta sur un pied plus assuré le couloir et en passant eu une première confirmation de ce qu’il avait aperçu tout a l’heure. Le lit était défait de Charlie, 2 modèles de couches atteints sur la table de chevet et une usagée dans la corbeille. Il entra rapidement dans la chambre pour découvrir les auréoles jaune clairs laissé sur le protège matelas par la fuite de cette nuit. Romuald en fit une déduction rapide et simple tout seul. On le voyant sortir de sa chambre Charlie l’apostropha « Oh,… ». Romuald surpris de tombé face à face avec son ami avec les produits de désinfection dans les mains l’interrompra « .. je te cherchais. Je te croyais dans ta chambre… » Non, sors de là et vient me rejoindre sur le canapé. Pendant que Charlie lui examinait le pied, Romuald lui caressait les cheveux un peu comme sa mère lui faisait. Il lui demanda alors « si tu es pas malade pourquoi y’a des couches sur la table de chevet ? » Charlie rétorqua que c’est sa mère qui les avait rapporté, qu’elle était aide soignante et que il les avait enlevé du carton de courses dans lequel ils étaient. Qu’il fallait qu’il les lui rende. « C’est étrange » Charlie était sur la défensive, parce que y’en a une aussi dans la corbeille à papier et… « Bon c’est bon. Vas-t’en. Je t’ai désinfecté… tu poses trop question et tu as pas a fouiller » Romuald se leva et Charlie le poussait vers la porte d’entrée maintenant. Romuald marchait tout a fait normalement quand Charlie marcha sur son pied et chuta avec lui dans la couloir. Romuald s’en amusa et l’embrassa une nouvelle fois. Seulement il ne laissa pas Charlie reprendre l’initiative des joutes verbales qui depuis ce matin n’allait pas dans le sens de leur amitié simplement parce qu’il avait fait comprendre a Charlie qu’il en attendait bien plus. Romuald lui dit alors « moi aussi j’en ai porté des couches jusqu’a tard et j’en ai encore besoin quelquefois… » Charlie était gêné « .. Mais moi j’en porte plus c’est juste que…; enfin avec les exams…. » Romuald mis le bras autour du cou de son ami et l’embrassa alors comme il le souhaitait. C’était pour Charlie son premier baiser et tout se suite après sa première étreinte. Romuald, lui, devait certainement avoir plus l’habitude. Les deux garçons se donnaient des coups de langue… le téléphone sonna. C’était la mère de Charlie qui voulait savoir si tout allait bien, si il avait vu son ami a la plage et si il pensait a réviser. Charlie lui répondit qua par Oui. Elle lui annonça qu’elle serait la que vers 1ç h car elle passerait chez a tante avant de rentrer. Il fallait qu’il profite pour travailler. Charlie bandait dans son maillot bleu marine et son sexe semblait vouloir franchir la barrière du cordon serré qui empêchait que celui-ci prenne l’aire. Romuald était sur le canapé dans le même état. Charlie ne savait pas trop comment faire… il se rapprocha de Romuald, s’assit et chercha de lui-même un nouveau baiser. Romuald toucha son sexe le fit sortir de son réceptacle et le manipula un peu. Il s’arrêta et demanda à Charlie d’aller dans la chambre s’il voulait poursuivre parce que la porte fenêtre donnait sur la rue. Charlie tira alors les rideaux et emmena Romuald dans sa chambre… La ils découvrirent le plaisir de la masturbation commune. Cela s’acheva assez rapidement par quelques éclaboussures sur le matelas et sur le visage. Romuald poussa jusqu'à récupérer son sperme et celui de son compagnon pour voir s’il avait le même gout. Les yeux de Charlie brillaient de nouveaux feux allumés par Romuald.
Charlie demanda s’il faisait souvent ça. Romuald lui répondu à coté de la question « aussi souvent que possible, quelquefois 2 à 4 fois dans la journée » Charlie compléta « .. non je veux dire avec des potes, … » « Ah, eux non en fait, j’ai un copain en France avec qui on s’entraine a celui qui va a l’extase le plus vite mais ça en reste la… » il continua encore voulant meubler le silence dans lequel Charlie se murait « … avec toi j’ai senti que ca pouvait être différent, plus ludique et plus construit… ». Charlie sorti du lit «.. Mais je ne suis pas un pédé ! » Romuald garda son calme « .. on est pas obligé d’appeler ca comme ça.. disons qu’on a pris notre pied a deux … et que ca va t’aider a étudier maintenant. » « As-tu voit ca comme ça toi ? » 3 bah oui tu le voyais comment toi … ? »
Charlie ne savait plus.
Romuald porta alors la main sur les deux couches restées sur la table de chevet. Il en ouvrit une… ». Elles semblent confortables, les mienne le sont moins… Arrête tes conneries tu dis ca pour m’emmerder. J’ai eu un problème l’autre soir et ma mère a cru que je me remettais à pisser au lit…alors … » « l’autre soir ou cette nuit ? » Charlie lui expliqua alors… il tournait ça en dérision. Ul demanda a Romuald jusqu'à quand il avait été énurétique. Romuald lui répondit « jamais… j’ai été propre comme tous les enfants simplement j’ai du en reporter pour faire suite à une opération. Il expliqua qu’il avait eu des diverticules… et que il perdait un peu ses selles facilement lorsqu’il était en crise. » Donc toi aussi tu as des couches vraiment… » Bah oui si je te le dis mais elles sont plus légères que ça parce que ca pouvait lui demander en crise de les porter en journée. Tu sais c’est un peu comme des serviettes pour les filles de plus gros format… » « Mais ca t’arrive souvent ? » « En fait non, pas depuis plusieurs années » Romuald avait été opéré à 10 ans et il en portait une trace discrète sur le cuir de son tambour pectoral. Il avait du se séparer de 60 cm d’intestins et depuis il ne lui arrivait plus de faire « caca dans sa culotte », comme on lui disait à l’école. Il avait pu alors suivre une scolarité moins décousu et rattraper son retard de la primaire 52 redoublement) et plus jamais redoubler de classe. Mais lorsqu’il avait un colite il reprenait le reflexe de mettre une protection dans son slip.
Tu veux bien m’en mettre une. Romuald avait déjà déplié une des couches blanches pour la mettre. Il demanda de l’aide à Charlie qui se rappela de la scène de la veille avec sa mère qui l’avait langé. Il glissa la couche sous les fesses de son ami, la remonta jusqu'à sa taille et la remonta sur son membre revenu au repos. Il sera à la taille avec les adhésifs. Il y en avait 3 de part et autre, ce qui l’étonna. La couche montait haut, semblait ajuster mais l’épaisseur semblait importante. Son ami avec une vrai allure de bambin avec un postérieur bien rembourré. Il dit a Romuald qui ne les connaissait pas et Romuald n’en attendait pas tant pour lui proposer de les essayer. Charlie ne voulait pas abuser.. pas en pleine journée mais Romuald se leva avec sa couche et demanda a Charlie de prendre sa place sur le lit. Il leva les jambes de Charlie pour le mettre en position du lange. Charlie ne broncha pas… il accepta de Romuald cette intimité parce que lui aussi portait des couches et pouvait comprendre. Sur Charlie la couche contrastait sur sa peau métissée. Le sexe de Charlie reprit vigueur dans cette couche en constatant que celui de Romuald lui aussi reprenait force. Il arrivait a faire bouger la couche sans les mains en contractant les muscle de son périnée. Romuald se frotta sur Charlie en lui proposant de rester ainsi cette après midi. Charlie hésita puis accepta se rappelant que sa mère rentrait tard. Il partagea son repas avec Romuald et lui prêta une tunique. Seul les deux grands bambins savait que leur cambrure n’était pas naturelle celle de Charlie naturellement cambrée était fantastique. Romuald lui dit plusieurs fois. Ils mangèrent le reste du colombo de poulet puis se câlinèrent. Charlie regardait dans le miroir de la salle de séjour le petit couple de grand enfant qu’il faisait avec son camarade de couche et regretta de ne jamais avoir eu un frère comme lui. Il se mit a la table pour réviser et laissa Romuald devant le tennis. Romuald s’endormit se qu’il trouva touchant. Il observait sa couche et la sienne. Elle semblait confortable pour les deux…et ca le faisait délirer. Il était content ce jour la d’en porter une simplement parce qu’il partageait ce secret avec quelqu’un comme lui et puis Romuald avait élargit son horizon des possibles. Il alla cherchait la bouteille de coca et continua d’une traite ses études des sujets du bac. Une grosse heure passa avant que Romuald reprit conscience. Il dit que les balles de tennis l’avait endormit qu’il préférait le basket ou le football. Charlie se retourna vers lui et lui sourit… La position de Romuald faisait apparaître sa couche sous la tunique. Pour la sienne elle apparaissait que a travers d’une déchirure dans le tissu au niveau de sa taille Romuald se leva pour a son tour boire du coca. Il passa la main sur le torse de Charlie pour ensuite descendre vérifier si sa couche était toujours la. La tienne est sèche mais moi je l’ai mouillé. Il leva la tunique mais l’indicateur d’humidité même n’avait rien trahi. La couche était épaisse et avait absorbé ce petit plaisir dont voulait parler Romuald. Charlie vérifia dans le molleton de la couche si c’était humide ce qui plut a Romuald… Charlie lança un défit le premier qui fait entraîna le témoin bleu sur le devant de la couche avait le droit de se la faire enlever …Romuald se jeta alors sur la bouteille de coca mais Charlie lui cria trop tard il venait de mouiller sa couche à grandes giclées. Romuald vida la bouteille et garantit de pouvoir en faire autant dans les 1à minutes. Charlie attendit donc de longues minutes. Il voulait voir ça sur un autre et cette attente lui provoqua du désir. A force de contempler Romuald et ne voyait plus le garçon d’hier mais l’homologue d’aujourd’hui. La couche de Romuald commença a se remplir. Les deux gars, la main posée sur la couche de l’autre commencèrent a se masser a travers la couche. Romuald entraîna d nouveau Charlie vers la chambre, retira sa tunique et la tunique de Charlie. Il s’allongea et demanda à Charlie de venir sur lui. Ils se frottèrent et Charlie pensa plusieurs fois perdre contenance, son souffle a chaque fois s’accélérait et Romuald à ce moment lui dit attend. Puis Romuald reprenait le même le scénario, il écartait les cuisses et attendait que Charlie se frotte sur lui. Sexe contre sexe. Charlie remuait son cul dans la couche un peu lourde et Romuald s’offrait a ses coup de butoir couche contre couche. Romuald rigolait mais Charlie ne pouvait plus s’arrêtait. Il se rendit dans un grand « Ah… » Romuald le laissa un instant sur le lit reprendre ses esprit. Il faisait chaud et il fallait souffler. Il ajusta sa couche et se mit a califourchon sur lui et se branla dans sa couche pour lui aussi se délivrer. Ses derniers mouvements furent pour aller chercher les lèvres de Charlie qu’il mordit…. Ils restèrent la enlacés une demi heure inerte sans doute à réfléchir à ce que leurs instincts leur faisait faire. Seule le bruit du ventilateur au plafond s’ajoutait a leur respiration qui était revenu à la normal lorsque Romuald lâcha un Prout qui résonna dans la couche, ce qui les fit rigoler. Charlie se concentra pour en faire autant mais n’obtenait qu’un petit truc foireux. Romuald fit remarqué que ça sentait le pipi mais Charlie était bien avec la tête de Romuald sur son ventre et ne répondait pas. Il laissa Romuald rentrer la main dans la couche humide de Charlie et aller chercher sa verge devenue flasque. Il la remuait dans la couche en faisant remarquer a son ami que celle-ci lui semblait bien inoffensive. Charlie confirma. Il se laissait caresser les bourses. Le matelas de ouate était chaud humide et tapissé de la semence déversé. Romuald se demandait si sa couche était elle aussi remplie car il ne sentait qu’une moiteur légère et rien de plus. Il vérifia alors la sienne mais fit le même constat. Charlie se redressa et examina le tableau des deux adolescents dans leur couche dans le miroir de sa chambre. « Ca fait bizarre… » Romuald lui souriait. « Ouais mais c’était sympa. Je jouis rarement autant tout seul… » Charlie lui confia que il avait appris a se masturber alors qu’il devait en porter et que c’était souvent un facteur de plaisir supplémentaire que dans les WC ou sous la douche ou il aimait bien aussi se branler. Que c’était aussi sans doute parce que il pouvait être surpris dans la salle de bain alors que tout seul avec sa couche personne ne le soupçonnait. Il ajouta maintenant en plus en couche je penserais a toi… » Romuald l’embrassa pour ce qu’il venait de dire. Il plaça la main sur le devant de la couche de Charlie en lui répondant « …je suis encore là tout le mois de juillet tu sais ! » Charlie souffla un grand coup. Il avait a la fois peur et éprouvait du plaisir a l’entendre. Lui revint en mémoire le bac et sa décision de très vite devoir oublier les couches. Ces deux promesses qu’il s’était faites semblaient compromises… Romuald cria victoire car il avait ajouté de nouveau du pipi dans sa couche qui gonflait encore. Charlie se leva et défit les scotchs de sa couche. Romuald le regardait comme un fruit défendu. Le ses de son camarade était plus long que le sien au repos. Il y avait encore du sperme dans la touffe de poil. Charlie encouragea Romuald à enlever sa couche tout en plia la sienne qui alla rejoindre celle du matin dans la corbeille mais Romuald ne semblait pas vouloir la quitter. « Allez dépêche toi si ma mère rentrait et qu’elle te voit ? » Romuald lui répondit qu’il lui avait mise c’était a lui de la retirer… Charlie lui répondit alors de faire ce qu’il voulait, sa mère rentrerait dans 2heures. Il prit un bouquin et pris sa tunique pour s’installer à son bureau. Il l’enfila ce que Romuald trouva très sensuel surtout lorsque la tunique recouvra le cul de Charlie. Il le lui dit. Charlie lui demanda d’arrêter de déconner avec ses trucs de pédé et qu’il s’avait très bien qu’il avait un corps banal. Romuald n’était pas d’accord, il lui dit des choses que jamais il n’aurait cru entendre même de la bouche de sa mère Qu’il avait la peau douce et qu’elle avait un goût sucré salé qu’il appréciait, qu’il avait des jolies cuisses fines qui faisait suite à un petit cul charpenté qu’il aimerait mordiller. Que son visage était celui d’un ange et que ses lèvres étaient une piste d’atterrissage pour les baisers, qu’il raffolait de son sourire, de ses yeux noirs et de son regard profond. Qu’il avait une musculature fine qu’i préférait au mec qui était sur la plage. Charlie se retourna alors « tu es donc pédé et tu l’as regardé mon copain Jocelyn sur la plage ?.. » « De qui tu parles ? » « du mec qui a ramassé ton cerf volant trois fois ?... » « Eh bien dis donc,… tu n’étais pas en train de bosser à ce moment là… t’étais à 100 m de nous ? T’étais déjà jaloux… et pour ton info, il a certes une jolie barrière abdominale mais je le trouve pas à mon goût. Il a les yeux globuleux et un maillot de bain pas bien rempli et pas très classe. Je lui ai fait d’ailleurs signe de le ranger mieux parce que les jeunes qui était avec lui le remarquerait» « Tu veux dire que tu regarde ça sur la plage ? » « Bah il bandait et je ne pouvais pas faire autrement que de le voir… » « Mais c’était de te voir qu’il… « « Comment veux tu que je le sache il discutais avec des potes et des filles un peu plus loin… » Quand je lui ai dit il a souri et ma juste dit « d’aller jouer a mes jeux de pédés ailleurs… Tu le connais ? » « Ouais il était dans ma classe en 4e et 3e mais il ne connaît que ce mot de pédé, il m’insultait à l’époque parce qu’il me sentait fragile. Juste qu’au jour ou je lui ai mis les choses au point. Il n’habite pas loin et il m’emmerdait sur le retour… » Charlie se remémorait alors les moments ou celui-ci le prenait a part sur le trajet du collège pour tenter de le déstabiliser en le touchant et en le traitant de « petit biche ». Charlie revint a ses cours lorsque Romuald ajouta « je pourrais pas avoir envie de lui et être en confiance comme avec toi… » Charlie se retourna alors « Mais tu arrêtes c’est pas parce qu’on se tire une branlette et joue à un jeu nouveau que on est forcement pédé… on est ami… ». « Oui mais pour répondre a ta question, oui je me sens plus pédé au sens que je regarde plus e garçon que les filles qui m’impressionne et oui j’ai envie de toi que ça te plaise ou pas. Ca ne se voit pas… Charlie n’avait pas remarqué que Romuald bandait de nouveau et qu’il se touchait en le fixant de son regard bleu profond et ceci au travers de la couche qui semblait bien chargé. « Mais tu as envie que je t’encule ? ». Romuald répondit que ça pouvait faire parti des choses… Charlie resta muet. « Retire ta couche et va t’en j’en ai assez entendu pour aujourd’hui… » Romuald lui répéta que c’était a lui de le faire. Charlie se leva alors et tenta de la lui retirer violement. Romuald se retira et alla chercher le sexe de Charlie derrière sa tunique. Il se mit à quatre pattes pour relever la tunique et lui sucer le bout du gland très odorant. Charlie essaya alors de retirer la couche de Romuald par derrière sans beaucoup plus de succès.. il recommençait a bander et apprécier ce qui se passait. Romuald mis son sexe dans sa bouche et le sexe gonfla….Charlie se faisait sucer et c’était bon. Romuald lui demanda ce que ça faisait. Charlie répondit du bien… ! » Il continua accentuant le vas et vient. Il appréciait tout y compris la main de son partenaire qui se perdait être ses cuisses, lui caressait les testicules et son cul.
Romuald s’allongea sur le lit et repris sa position sur le dos, il demanda à Charlie a son tour de le sucer. Charlie sortit donc le sexe de son camarade et fit de façon maladroite la même chose mais il salivait beaucoup…. Il préféra de nouveau se frotter sur la couche de Romuald. Qui lui dit de la retirer. Charlie pris dans l’excitation retira la couche et frotta son sexe contre le sexe de romuald. Romuald caressait son ami avec les pieds pris de salive et se masturba Charlie limita. Puis Romuald renouvela l’opération mais se frotta l’anus… Charlie considérant cela comme une invitation s’en approcha. Romuald recula alors et lui dit attend un peu je veux pas que tu me fasses ça direct….Romuald se leva pour caresser le cul de Charlie qui se coucha sur le ventre. Romuald voulu mordillait le cul de Charlie ce qui lui provoqua un frisson. Charlie semblait lui aussi tendre son cul. Romuald se branlait au dessus. En entendant Romuald jouir de quelques gouttes de sperme sur lui, Charlie frotta son sexe sur le matelas et lui aussi déversa son plaisir. Romuald s’étonna que Charlie en déverse encore autant. Il était temps d’aller prendre une douche et les deux garçons se savonnèrent l’un l’autre. Leur complicité se faisait encore plus grande ….
Est-ce qu’il y aurait une limite a tout ça… Charlie préparant son bac n’y pensait plus en regardant son petit frère boire l’eau de la douche et s’amuser avec lui a un combat de zizi….
Ils s’arrêtèrent bientôt entendant la mère de Charlie rentrer. Les deux garçons sortirent de la douche un peu penauds. On pouvait lire sur leur visage à la fois le plaisir qu’ils avaient eu ensemble et un peu de leur culpabilité. Romuald avait à peine remis son slip de bain qui roulait sur ses fesses lorsque la mère de Charlie s’écria « Mais qu’est ce que vous avez fait avec les couches ? » elle avait trouvé les couches pleines jonchant le sol mais par bonheur elle ne les inspecta pas. Elle demanda à Charlie de ramasser tout ça et quelques explications. Romuald alla à son secours en prétextant avoir demandé à Charlie de lui faire essayer parce qu’il les avait aperçu en ramenant les cours hier soir. Et puis Charlie dit avoir avoué ces petits problèmes à Romuald et qu’il lui avait confié avoir du en mettre lui aussi très longtemps…Enfin qu’ils avaient rigolé en buvant toute la bouteille de coca.
La maman de Charlie était un peu surprise mais admis que cela puisse être le cas et tant que Charlie ne semble pas souffrir de la situation cela lui suffisait. Elle s’inquiéta de l’état de révision du bac et Romuald surenchérit en disant l’avoir fait répété sur l’histoire/géographie.
Charlie était à la fois honteux en ramassant les couches et à la fois complice avec Romuald. Il mit les couches dans un sac plastiques, le noua et le mis devant la porte. Romuald sentit qu’il devait laisser Charlie et sa mère. Il salua donc Charlie en lui tapant la main et le remercia pour son accueil et la douche. Sa mère essaya de le retenir « tu bois pas un jus ? » Romuald se laissa convaincre dans un premier temps mais il aperçu alors sa sœur en bas du chemin. Elle était rentrée. Romuald prie alors congé en précisant à Charlie que demain il irait à »la pointe » avec sa sœur. C’était son jour de repos…Charlie ne pu réagir mais déjà lorsque la porte se referma Romuald lui manquait.
Il mit cette journée a profit néanmoins pour avancer dans ses révisions. Le matin il garda toute la matinée la couche qu’il n’avait pas mouillé la nuit Il resta à son bureau et ne s’arrêta pas de travailler même pour un pause pipi. En début d’après midi, il dut se résoudre à en changer parce qu’elle était saturée. C’est à peu prêt au moment ou il l’enleva qu’il reçu un sms de Romuald. Cela disait « C super et sauvage ici. J M 100 seul 100 mon frère créole. Y’a po de reso. J pass te voir tout a l’H ».Il travailla encore sachant que ce soir il retrouverait quelqu’un avec qui partager un peu de ce qu’il était. Il jeta sa couche et en repris une dans le paquet de couche de nuit qu’il avait ouvert parce qu’il savait que c’était les plus épaisses et attendit son ami. Ca mère rentra. Elle prépara le diner sans autre question. Elle appréciait qu’il vienne manger avec sa couche sur lui, elle retrouvait son enfant. Elle le savait pré occupé mais attribua ça au bac et a ses petits soucis de pipi. Charlie attendait Romuald et Romuald ne se manifesta pas ce soir là avant qu’il s’endorme sur la canapé, sa mère lui caressant les cheveux. Il rejoignit son lit avers 23h30, se brossa les dents, regarda son portable et sans signe de vie de son « petit frère », il s’endormit.
Le lendemain matin Charlie fut réveillé par sa mère qui constata que son fils dormait sur le dos les jambes légèrement entrouverte. Elle constata qu’il avait du mouiller la couche mais que ca le rendait heureux. A prêt tout avoir ses érections dans sa couche était de son âge mais elle voyait plus souvent l’absence de manifestation de ce type avec ses patients. Quelques malades lui avaient rappelé son fils quand elle les changeait. Elle le laissa geindre et claqua la porte. Charlie réagit à son départ puis se rendormit. Il lui manquait le courage de la veille pour se lever. Il pensait « peut être l’expérience de l’avant-veille avait peu plus a Romuald et il ne le verrait plus …pourtant c’était lui qui l’avait incité à… » Encore une heure passa… il se tourna et se retourna.
Il n’avait pas entendu Romuald qui l’avait appelé et avait décidé de rentrer par la fenêtre du salon rester entrouverte pensant effectivement que son flémard de copain était en train de dormir. Il s’était assis pour regarder son copain langé dormir en frottant sa couche inconsciemment sur les draps. Il se doutait que le rêve devait être érotique.
Il attrapa une couche dans le sac ouvert par Charlie la veille et la disposa sur lui. Son sexe était déjà au zénith. Il voulait qu’il se calme avant de rejoindre Charlie…l’envie était trop forte et il choisit de rejoindre finalement Charlie pour le réveiller. Il se glissa entre les jambes de Charlie pour lui mordillait le sexe sur le devant de la couche. La couche sentait l’urine de la nuit mais ca l’excitait et Charlie ouvrant un œil sursauta avant de reconnaître son Romuald. Il vint lui embrasser les lèvres et se plaquer sur lui. Charlie lui demanda pourquoi il n’était pas venu hier ? » et Romuald lui dit qu’il était fatigué et avait bu du punch avec son beau frère. Trop saoul il avait décidé de se coucher pour être plus en forme aujourd’hui… Charlie ne répondit que « hum hum… » et Romuald ajouta « aujourd’hui je veux qu’on fasse l’amour en couche, j’ai amené ce qu’il faut ! » Il désigna alors des préservatifs qu’il avait poser sur le siège du bureau de Charlie. Charlie lui répondit qu’il ne savait pas faire ça mais Romuald l’avait décidé et pris une nouvelle fois les devants. Il alla chercher le sexe de Charlie dans sa couche et la sortie par l’entrebâillement de la couche. Il gouta celle-ci et ne fut pas intimidé par l’odeur du pipi. La couche était épaisse et semblait lourde. Romuald aimait caresser ce paquet et Charlie se laissait faire. Tout en regardant son copain faire il caressa son dos puis le derrière potelé de Romuald rebondi de la couche. Il tapotait le lange et le va et vient qu’imposait Romuald sur le sexe durcit de Charlie suivait le rythme. Charlie allongé sur le dos commençait à gigoter pour faciliter Romuald dans l’exercice. Charlie admettait que ce qu’ils se faisaient là n’avait rien à voir avec son sport préféré des matins calme lorsque maman partait tôt. La branlette n’était pas forcement longue alors…Seul dans sa couche il avait appris à jouir. Ces premiers matins où a 15 ans il s’était retrouvé avec ce liquide il avait cherché à comprendre puis il apprivoisa ce désir de se masturber dans la ouate encore humide. La moiteur et le pipi qui coulait jusqu’à son derrière lui plaisait parce que c’était chaud et la couche alors accueillait sa semence en pressant quelquefois un peu plus sur le devant de la couche. Il continua comme tous les ados même sans couche et se donnait à ce jeu jusqu'à 4 fois par jour.
Là son désir était encore plus fort. Romuald passa la main dans la couche de Charlie pour le caresser plus précisément. Charlie fermait les yeux et laissait Romuald fouiller dans le lange jusqu'à quelques points de son anatomie où les deux jeunes garçons se surprirent d’y trouver du plaisir. Cette ultime caresse acheva Charlie et orienta à jamais ses jeux qu’on appelle chez Marivaux de « l’amour et du hasard », le hasard d’avoir rencontré un ami et d’en avoir fait un petit frère de couche.
A suivre
Publié par Liberté de la couche
Histoire 2 le babysitter qui aime les couches
Jonathan était une jeune garçon un peu perdu, il sortait d’une première déception sentimentale et ne savait pas trop où il en était. Un peu désorienté, il s’attacha à moi et vena de plus en plus souvent chez moi rechercher un peu de l’enfance qui lui avait échappé…
Mais ne brulons pas les étapes et revenons à ce qui a fait que ce garçon devint mon petit pissou préféré.
2002, La Canicule. C’était une époque ou je travaillais beaucoup et comme tous les papas modernes, j’étais malheureusement séparé et redevenu célibataire j’étais par conséquent corvéable à merci. Mon patron comptait sur moi pour les objectifs de vente de l’été et mon fils m’était confié pour la période de juillet par sa mère.
Cette année ca tombait mal car c’était pleine période de soldes et promos en tous genres. Le textile se vendait mal car à vrai dire personne ne pensait à porter autre chose que tee shirt et maillot de bain ou short. La chaleur était terrible et le mois d’Aout fut même tragique.
Je ne pouvais offrir à mon fils que de vivre ses semaines avec son père à Paris et j’étais décidé à profiter des week-end pour découvrir les joies de paris. Paris plage, les parcs de mon enfance, la diversité des musées parisiens,….
D’un autre coté mon fils voulait voir de Paris Disney Land, le Parc Astérix Etc…
Je devais profiter de lui au période ou la justice et sa maman me laissait le voir sous peine de ne plus le voir du tout.
Je cherchais donc un baby-sitter pour benjamin qui pourrait le garder et s’occuper de lui lorsque manifestement je ne pouvais rendre compatible ma vie familiale ou ce qui en restait et ma vie professionnelle pour laquelle j’avais déjà fait de sacrifices.
Je déposais donc des annonces pour trouver un baby-sitter sympa dans les commerces locaux. Le boulanger, le boucher, mon épicier, le pharmacien qui connaissait Benjamin acceptèrent de véhiculer ma recherche à l’entrée de leur magasin. Ma petite tête blonde était connue de tous les commerçants chez qui je faisais mes achats.
A 7 ans Benjamin faisait encore pipi au lit. Pour des raisons que je ne comprenais pas mon ex compagne continuait à ne rien dire ce qui avait été un des nombreux motifs de discussion avec elle. Benjamin portait des couches qu’il fallait acheter en pharmacie. Je m’y rendais donc la veille de son arrivée pour prendre la commande des Pampers juniors en question en sortant du boulot.
Ce jour la le pharmacien me dit ne pas avoir été livré et me proposa un autre produit : les « Tena » que j’acceptais les yeux fermés. Je m’intéressais également à un anti moustique et un produit solaire car nous avions l’intention de partir a un parc aquatique le weekend end suivant et sans doute a Eurodisney le suivant. Lorsque je payais le pharmacien me demanda si je cherchais toujours quelqu’un pour garder Benji car son neveu sortait du lycée et ne s’avait pas quoi faire de ses journées. Il avait 19 ans et avait deja fait du babysitting pour sa famille. Il était là et c’était lui qui me préparer mon colis. Le garçon semblait sage et sans doute serait il un bon copain a Benji sur la console X box et sur les jeux de kung-fu et autres inventions du genre… je lui posais deux trois questions sur ces disponibilité et son expérience des jeunes enfants. Il n’en avait pas mais était libre et si tôt ce weekend end la passé je n’avais personne pour garder Benji hormis ma mère qui était pas super en forme alors que Benji était remuant même si un gentil garçon. Je convenais donc de l’engager en semaine et son regard s’illumina…je lui donnais l’adresse à laquelle je demeurais pour qu’il y soit lundi à 7h00.
En arrivant chez moi,, il fallait préparer la chambre ou Benji dormirait et aménager un espace pour Jonathan car il m’avait demandé si ca ne faisait rien qu’il reste le soir étant donné qu’il n’avait pour l’instant qu’une piaule réservé pour la rentrée universitaire a partir du 1er septembre et que chez son oncle (le pharmacien, c’était un peu difficile car il y avait un contexte familial difficile)
J’accueillais Benji au train direct venant de Lille jusqu’à Gare du Nord et l’emmenait au mac Do a Coté avant de revenir à la maison. Benji tombait de sommeil car il était tard. Sur le trajet entre la gare et mon domicile il s’était endormi et se réveilla brusquement pour me dire excuse moi Papa j’ai fait pipi sur le siège de ta voiture… ca commençait fort mais je tachais de me concentrer sur ma conduite avant de mesurer l’ampleur des dégâts.
Je lui dis que ce n’était pas grave et que son paquet de couches l’attendait pour éviter ça trop souvent. Pour toute réponse laconique il me dit : « … maman a dit qu’il ne fallait pas en mettre le jour… est ce que ma XBOX m’attend aussi ? »
« Certainement pas ce soir » Et, tout en montant l’escalier je lui parlais qu’il aurait un compagnon de jeu à compter de lundi avec lequel il pourrait jouer a la XBOX. Il me demanda s’il était fort à « Kun Fu chaos » à « Soul Calibur II » etc… je ne connaissais pas le niveau de Jonathan mais pour sur il devait mieux se débrouiller que moi.
En arrivant je lui fis prendre un bain… et je consultais mon répondeur qui m’agressait de clignotements dés que j’avais ouvert la porte d’entrée de l’appartement. Il aurait fallu que j’aille le lendemain remplacer quelqu’un pour l’ouverture d’un magasin le samedi…mais comment faire ? J’étais préoccupé…
Benji… qui barbotait me rappela à mes préoccupations de pére pendant que j’ouvrais le courrier. « Je reste combien de temps la dedans ?... il est ou le Batman qui nage ? » Il avait raison cela faisait une demi heure qu’il était la dedans ... » je l’essuyais puis le portais directement dans la serviette éponge sur le lit ou j’attrapais le paquet de couche.
Benji remarque de suite que ce n’était pas celles qu’il portait habituellement et lorsque j’ouvris le paquet je me rendis compte que cela poserait un nouveau problème. Les couches n’étaient pas adaptées à un petit garçon de 7 ans et de 35 kilos tout mouillé. Je lui essayais mais y’a rien a faire cela allait fuir. Je me rappelais que sa mère avait l’habitude de mettre sa culotte plastique imperméable à pression dans la poche avant de son sac et que une petite serviette éponge pouvait servir a la garnir … je mis son pyjama et Benji ne cherche pas plus loin. Il était 21h30 et j’avais moi aussi envie de me coucher… avant de dormir je décidais d’appeler Jonathan pour voir s’il ne pouvait pas être le lendemain matin à la maison et si du même coup il n’avait pas une solution pour les couches.
Il me dit qu’il pouvait même venir de suite pour m’amener les couches taille Small (il se sentait responsable car son oncle avait bien dit Small et il avait donné « medium ».. ; « je comprends bien Mr Sebastiano , ces couches là elles iraient à un ado comme moi mais pas a votre enfant »
Je lui dis de ne venir que le lendemain que Benji dormait déjà et que j’avais trouvé une solution. Mais il insista « mon oncle et ma tante s’engueule toujours et moi au mi ma peste de cousine je ne m’en sors pas. Je pourrais dormir chez vous et comme ca demain on se lève tous ensemble… »
Il arriva 20 minutes plus tard avec un Sac à dos de campeur qui trimballe sa maison sur le dos. Il vit mon inquiétude car je ne savais ou lui demander de l’entreposer et me fit tout de suite constaté qu’il y avait là dedans un paquet de 22 couches et divers échantillons qui prenaient de la place. Il sortit de sa poche un flacon de gélule à la queue de cerise qui permettait de régler les troubles de la miction et que lui avait donné son oncle en guise de geste commercial. Je discutais avec le jeune homme qui manifestement était soulagé de s’asseoir dans un confortable salon sans bruit. Il resta longtemps admiratif de la vue que j’avais sur le parc de la résidence… Puis il revint sur les couches qu’il m’avait apporté…ce n’était pas le sujet par lequel je souhaité commencer mais manifestement il avait retenu comment fixer les changes et semblait pouvoir se débrouiller. Je lui parlais de l’incident de la soirée et que la maman de Benji ne voulait pas que Benji porte des couches la journée. Par mesure de précaution je lui demandais de surveiller ses siestes, de le laisser dormir mais de lui mettre une couche pour dormir. Puis nous évoquions les loisirs de Benji et je compris que Jonathan jouait sur des jeux identiques sur PlayStation, aimait les films jeunesses, ile me semblait ter une personne sensée.
Je lui proposais un punch des Antilles qu’on appelle un Schrub mais il préféra un coca. Il me parla un peu de lui alors…Jonathan était fils unique et ses parents ne l’avait pas pour autant beaucoup choyer étant petit. Ils travaillaient dans un magasin de photo dans lequel il avait beaucoup trainé puis travaillé pour simplifier la vie de ses parents mais sans beaucoup de reconnaissance de leur part. Il s’identifier comme un vilain petit canard ce qui lui valait le surnom de Caliméro. Il s’y connaissait donc pas mal en photographie et en loisir qu’il pratiquait en solitaire. Il avait peu d’ami et on sentait qu’il avait besoin d’amour et de balise… je remettais au lendemain des discussions philosophique sur lequel on glissait tous les deux mais je sentais que celle-ci pouvait être intéressante pour moi comme pour lui. Il avait notamment lâché qu’il « fallait prendre garde a ce que ses enfants soient sevré avant de les lancer dans la vie » ou encore que « on devait travailler pour vivre et non l’inverse ».
Je l’invitais a dormir sur le canapé pour ce soir de peur de réveiller Benji ou qu’il soit surpris de voir Jonathan à coté dans sa chambre à son réveil demain matin. On ferait les présentations le lendemain … il insista pour voir le petit avant de se coucher et pour l’entrebâillement de la porte il pu dire de mon fils « il semble adorable, admirablement langé et plongé dans un profond sommeil ». Benji était effectivement animé de profondes respirations.
Nous nous endormions donc… Au petit matin c’est Benji qui me réveilla. Il arriva directement sur mon lit avec son Batman qu’il avait retrouvé dans le coffre de jouets… Il me dit qu’il avait enlevé sa culotte plastique parce que ca lui avait donné chaud mais qu’il n’avait pas fait pipi au lit. Par contre il avait eu chaud et que c’était sa sueur qui était dans le lit. J’étais obligé de rire car je disais la même chose étant jeune. Heureusement j’avais mis une alèze et une protection pour le matelas. Mais ce que je compris moins en me levant c’est de trouver un deuxième bébé dans mon salon…
Jonathan avait sorti un body pour dormir et s’était manifestement endormi avec une des couches qu’il m’avait montrées en échantillon. Il se réveilla et c’est ainsi que se fit la prise de connaissance entre Benji et Jonathan.
« Oh excusez moi je pensais les essayer hier et je me suis endormi »
Benji assistant a la scène chercha a comprendre qui il était avant tout autre chose, ce qui sauva quelque peu la mise de Jonathan « tu as un autre bébé papa ? »
« Pas exactement. C’est un copain pour toi pendant que papa il est pas la… »
« Mais lui aussi il fait pipi au lit ? »
« non mais il a voulu faire voir a papa les autres couches qu’il ya dans le magasin de son tonton et comment on les mettait… »
« Elles sont l’air cool » dit Benji en remarquant le dessin sur le devant de la couche que Jonathan essayait de ôter discrètement. Le changement de couleur du dessin pouvait vouloir dire que celle-ci était mouillée et Benji le fit remarquer. Jonathan répondit « c’est juste que j’ai transpiré cette nuit il a fait chaud » Sur ce Jonathan arriva a dégrafé sa couche, Benji et moi nous nous regardions de façon complice et nous rigolions ensemble. Jonathan était rouge de honte.
De ce gag nous décidions « c’est d’accord Papa aura deux bébés à s’occuper cette été ».
Il fallait prendre le petit déjeuner et se préparer toute en laissons mes deux garçons dans de bonnes conditions. Je tacherais de rentrer ce midi il fallait faire vite.
Nous arrivons a expliquer tout et a 8h 00 je partais au boulot.
A midi lorsque je rentrais Jonathan et Benji était dans un combat de personnage impressionnant. Benji ne bougeait pas plus de Jonathan et me dit « c’est super, il a le même niveau que moi » Jonathan était adopté.
Apres le repas du midi que j’avais acheté a la volée chez un traiteur chinois. Benji demanda s’il pouvait faire une sieste sur le canapé car la chambre était très ensoleillée et trop chaude (j’aurais du laisser les volets fermés) Je répondis oui avant de partir mais à condition que Jonathan lui mette une couche. Benji me répondit « et lui.. ? » mais la porte claqua et je continuais le chemin en me disant ma fois si il veut…
J’en voulais à Jonathan car a mon retour le canapé était mouillé. Il v avait apparemment laissé Benji s’endormir sans sa couche… Jonathan s’en voulait et ne m’adressa pas la parole du diner puis me dit « je comprendrais que vous me renvoyez si je ne conviens pas… l’ennui c’est que je ne sais pas ou aller… »
Je lui dis qu’il n’était pas dans mes intentions de priver Benji d’un bon copain mais que je tenais à le punir car c’était une leçon pour Benji comme pour Jonathan. C’est donc moi qui surveillerais le change de ce soir. Je priais donc Jonathan de langer Benji…. Et sitôt fait avec les nouvelles Tena Small, je pris une Tena medium dans le paquet qui avait été ouvert la veille pour faire comprendre a Jonathan que je le langerais a mon tour…
Benji trouvait sa drôle et Jonathan accepta non sans mal. Benji qui assista a la scène me fit remarquer que Jonathan avait plein de poils et que son zizi était tout dur... Jonathan qui était hésitant prenait sans doute du plaisir a cette situation. Je repliais la couche.. il me répondit que je n’avais pas besoin de cours supplémentaire que c’était parfait… dans mon fort intérieur je me dis « mais qu’este ce qu’il en sait ? » et lui répondait « c’est ce qu’on verra.. »
Ce soir la nous regardions Fort Boyard et Benji s’endormit sur le canapé mais sans risque cette fois. Jonathan était à coté de moi en couche et tee-shirt. Je pris et lui proposais une bière qu’il accepta… puis après il s’intéressa a l’émission « l’ile de la tentation » et nous en parlions, du concept etc.…. lorsque je surpris Jonathan en train de pisser dans sa couche.
Il avait les yeux qui luisaient… parce que j’avais vu et qu’il avait vu que j’avais vu… il tourna la tète vers la TV et s’allongea en posant sa tête sur mon torse. Je lui caressais ses cheveux et répondait a sa demande non formulé mais implicite. Il voulait autant d’attention que Benji… Nous terminions l’émission, la couche était bombée et lourde quand il se leva. Je lui proposais de la changer. Il n’attendais que ca.. ;sans un mot il s’allongea sur le lit que j’avais prévu de l’autre coté de la chambre de Benji et lui mettait une deuxième couche, il avait sorti son body.. Mais avant de lui fermer à l’entrejambe j’ajoutais un deuxième change complet par sécurité. Je rabattais le body dessus ce qui lui faisait un gros cul. J’allais chercher Benji qui lui était encore sec pour qu’il rejoigne au lit son désormais grand frère.
Le lendemain c’était dimanche. Quand je me suis levé mes deux pensionnaires dormaient encore…j’en profitais pour réfléchir à tout ça. Comment en 2’ heures nous en étions la ?
Jonathan se leva les cheveux en bataille. Son body était humide de transpiration et les couches étaient encore présentes. Il avait juste enfilé un pantalon de toile par-dessus. Il me fit la bise et s’asseyait à cote de moi « ca va me dit il ? » « Oui je réfléchissais… » « a quoi ? » « a ce qu’on va pouvoir faire ensemble. » Il regarda par la fenêtre « effectivement il fait pas super beau pour faire un parc d’attraction ni pour aller a la piscine… » « et me voila avec deux gamins a m’occuper si je comprends bien …» un silence s’installa.
« Ce n’est pas la première fois que j’en mets si vous voulez que je vous le confirme. En fait depuis l’âge de 15 ans je vais régulièrement chez mon oncle pour garder ma petite cousine et me faire de l’argent de poche et je remplie mon sac d’échantillons ou des paquets de couches que les gens ramènent à la pharmacie. Les fabricants et les pharmacies on leur reprend même si ce n’est plus vendable lorsque ca ne convient pas ou lorsque les gens qui les portaient n’en ont plus besoin. Le plus souvent c’est suite à des accidents ou des décès. Mais moi je les capte, j’adore en porter.
« …Mais tu les mouilles de façon volontaire ? »
« Malheureusement oui. J’ai tout essayé les tisanes, les médicaments softs… jamais je n’ai réussi à pisser involontairement vraiment. Je me réveille souvent la nuit avec une envie de pisser alors je trouve pratique d’avoir une couche pour ne pas aller aux toilettes. Chez moi c’est un RDC et je suis au 1er étage et je manque a chaque fois de tomber dans l’escalier… C’est pratique et ca ne réveille personne. Et puis quelquefois quand je sors et je bois c’est pratique d’avoir une couche. Une fois j’avoue que ca m’a sauve d’une cuite qui aurait pu me mettre dans l’embarras. J’avais remplie ma couche de chiasse car je rhum m’avait attaqué le foie direct ! »
1000 questions me venaient : je n’avaient que 35 ans mais comment les nouvelles générations pouvaient en venir a boire à ce point… Qu’en pensaient ses parents ? Qu’elle vie sentimentale pouvait il avoir ?...
Il y répondait sans que je les pose. Je bois pour oublier mes problèmes existentiels mais j’essaie d’arrêter et je suis suivi pour ça par un psychologue. Mes parents m’envoient régulièrement le voir mais ils ne savent pas pour les couches et le psy dit que si ça ne me pose pas de problème je peux vivre avec… mais il n’a pas du comprendre que j’en mets très souvent. On parle de ma relation avec mes parents et mon entourage et du manque que j’ai a combler. Il dit que je manque d’un cadre… je suis d’accord mais pas lorsqu’il m’incite à trouver une copine. J’en veux pas c’est que des emmerdes et j’ai aucun besoin de sexe de ce coté là je me suffis seul, juste de l’amour et de la tendresse.
Pourquoi me dis tu tout ça ? Et qu’attends-tu de moi ?
Parce que je vous trouve cool et que j’aimerais vraiment avoir un « dad » comme vous ? Benji a l’air de vous apprécier et vous faites beaucoup pour lui, vous y tenez. Moi je me suis toujours senti de trop chez moi ou mieux transparent. Ils n’ont même pas pensé à fêter mon BAC ou me féliciter…
Sur ceux benji sans doute réveiller par notre discussion se leva. Fier de lui il me sauta au cou. « Tu as bien dormi ? » « Super ! Je n’ai même pas fait pipi dans ma couche … et toi ? »
Jonathan répondit simplement « j’ai bien peur que je ne puisse dire la même chose… »
Ce n’est pas grave notre super papa va nous changer. Il exigea alors de prendre une douche avec Jonathan. Je proposais que Jonathan lui donne la douche pendant que je sers le petit déjeuner mais Benji insista…
On se rendait donc dans la chambre pour préparer les affaires pour la journée et lorsque les vêtements furent sélectionnés Benji voulait se mettre comme Jonathan. L’un est l’autre avait un baggy et une chemise blanche. On se prépara au bain. Je fis coller l’eau. Je commençais pas Benji…effectivement, la couche était propre mais je ne pouvais la conserver pour la nuit suivante. Il avait beaucoup remué et transpiré et la ouate était déplacée… Benji se releva et tout nu sauta sur son lit comme il avait l’habitude pour signifier qu’il était heureux et libre dans le plus simple appareil.
Jonathan alors s’allongea sur le lit.. pour dissiper le trouble… je lui demandais de ne pas faire la même chose que Benji car la fenêtre donnait sur des habitations et j’aurais du mal a justifier les saut de cabri de ce jeune homme … il en rigolait lorsque je glissait le pantalon sur ses chevilles. Le body était en place et je le dégrafais à l’entrejambe et le remontais au dessus du nombril. Visiblement la couche du dessus était intacte mais il émanait une odeur azotée qui ne détrompais pas la couche du dessous était saturée. Benji s’amusa de la scène et demanda pourquoi deux couches…A la vision de la deuxième il comprit pourquoi une deuxième aurait pu être nécessaire. De toute façon cela avait fuit et le drap du dessous avait été marqué de deux auréoles symétriques. Je tirais le toute de sous les fesses de Jonathan pour le poser sur son thorax. Je lui levais les jambes par les pieds avec une main pour lui donner la fessée auquel Benji aurait eu le droit s’il avait souillé son lit. Il fut subitement inquiet… mais accepta. Il s’éleva les fesses rouges pour rejoindre la salle de bain. Benji le rejoignait et tous les deux rentrèrent dans la baignoire. Benji me cria amène moi Batman et les autres bonhommes. Jonathan était recroquevillé et me regardait de biais lorsque Benji l’éclaboussa. Pendant que je préparais le déjeuner les deux garçons firent connaissance avec l’anatomie et surtout avec Batman et son univers
Je sortais Benji de l’eau. Jonathan l’avait aidé à se laver en passant partout même derrière les oreilles comme le demandait aussi sa maman. . Je l’habillais pendant que Jonathan se nettoyait à son tour de façon plus libre et autonome. Benji s’installa devant la console de jeux et me dit « maintenant tu peux t’occuper de ton autre bébé.. » Je demandais a Jonathan s’il avait fini car je devais aussi prendre une douche et sur le ton de la plaisanterie lui demanda s’il avait besoin que je l’aide à l’habiller. Il me répondit « pourquoi pas… » Il apparu enroulé dans une serviette éponge. Les cheveux dans les yeux avec sans doute un peu de honte et pas mal d’audace… j’acceptais de jouer le jeu. Je l’habillais mais il m’arrêta et me dit qu’il manquait quelque chose. Il voulait que je lui en mette une pour la journée « j’en ai suffisamment pour ça »
La n’était pas la question que devais je dire a Benji ? Mais il insista… en le langeant je découvrais qu’il avait encore la marque de ma main sur les fesses. La fessée l’avait marqué.. ; je lui demandais si ca allait quand même. Il me dit avoir eu mal et avoir été surpris mais que ca faisait parti des lois et du jeu. Je ne lui mis que le bag gy par-dessus et sa chemise blanche avant qu’il ne rejoigne la table du petit déjeuner. Benji n’avait encore rien vu de ça lorsqu’il voulu consoler Jonathan pour la fessée…sa main s’arrêta sur le ventre de Jonathan sur lequel remontait un peu le lange qui dépassait du baggy sous la chemise… « Pourquoi tu l’as puni Papa ?.. »
Je ne savais quoi dire d’autre pour respecter la complicité de Jonathan donna pour réponse « parce qu’il le vaut bien… » Nous déjeunions ensemble et réfléchissions a quoi faire de la journée. Les garçons exprimaient l’envie de rester a la maison pour faire du jeu vidéo ce qui arrangeait. La matinée entière ils restèrent en tailleur dans leur baggy. Seul Benji se leva deux fois pour aller au toilettes pendant que moi je faisais mes comptes. Je devinais ce qui se passait dans la baggy de Jonathan….
A suivre
Apres le repas du midi Benji voulu faire la sieste et je demandais a Jonathan de le coucher. Ne voyant pas Jonathan revenir alors que j’étais occupé à regarder le Tour de France, j’allais voir ce qui se passait. Jonathan et Benji dormait sur le même lit l’un a cote de l’autre, tous les deux langé. Jonathan se réveilla et mis sa main sur sa bouche en faisant CCCHUTTT….
Jonathan me rejoignant pour voir l’arrivée de l’étape puis me demanda de le changer. Ce que je fis. Et puis ce fut a Benji de venir me voir pour que je le change lui aussi. L’un est l’autre avait la couche pleine. Ma poubelle de cuisine devenait trop petite pour accueillir les changes qui se succédaient. Je décidais de punir Jonathan en le contraignant de descendre en couche plus sa combinaison a la cave pour jeter les couches. Il accepta et me dit avoir rencontrer la voisine qui le regardait avec des yeux ronds.
Le début de la semaine approchait et j’expliquais a Jonathan ou se trouvait les différentes choses qui pouvait lui permettre de gérer dans la journée. Les céréales du petit déjeuner, les couverts , les affaires de Benji…je donnais aussi accès a mon ordinateur en créant un profil invité a Jonathan et en lui précisant que Benji ne pouvait le manipuler car je me méfiait de ce qu’il pouvait trouver sur la toile.
Je laissais mes deux gros bébés endormis lundi matin. Il faisait chaud et tous les deux avaient choisi de dormir sur le lit sans drap avec simplement leur couche. Le tableau était attendrissant. Manifestement Jonathan e Benji dormaient du sommeil du juste et avait utilisé leur couche durant la nuit. Je me disais en fermant la porte que ce devait être finalement assez confortable et pratique de ne pas avoir a se lever la nuit pour une miction. Il fallait boire beaucoup en cette époque car il faisait chaud et dans la nuit j’avais du me lever sans possibilité de me dormir après. Il faisait jour et j’étais tout de meme préoccuper par la situation et parce que la mère de Benji en dira lorsque Benji l’informera avoir un grand frére qui le gardait et qui portai lui aussi des couches…Il me venait néanmoins à l’idée d’essayer la prochaine nuit de porter une couche la nuit, pour voir.
A mon retour j’étais bien fatigué et mon petit monde était en place devant la Télé, il n’y avait pas trop de bordel dans la maison. Le temps était orageux et je commençais par prendre une douche. Dans la salle de bain je trouvais le témoignage de changes répétés par Jonathan. Je l’interrogeais sur la journée en ressortant en peignoir de bain dans la salle de séjour ou Benji manifestement était en train de mettre une cuisante défaite a Jonathan « on a jouer toute la journée et je ne pouvais pas lâcher la manette donc j’ai trouvé très pratique de rester langé en permanence et Benji aussi »
« Très bien mais c’est normalement que une mesure provisoire pour la nuit normalement… et puis ca aurait bien de faire un peu d’activité dans le parc par ce temps histoire de profiter du soleil un peu. Les jeux vidéos c’est bien en hiver… ».
Je n’obtenais pas de réponse de la par des deux accros de Xbox.
Je préparais le repas et couchait Benji a 22h pendant que Jonathan resta un peu plus longtemps avec moi. Il surfa sur le net pendant que je regardais la télé d’un œil discret tout en calculant le chiffre d’affaire du mois sur mon pc portable. Il me demanda de le changer avant de se coucher. Comme avec mon fils je le bordais et l’embrassait avant de le laisser s’endormir. Je lui renouvelais mes instructions verbalement et les couchèrent par écrit de façon a se qui les trouve a son réveil. Cette nuit la je prenais une couche dans la paquet dans lequel Jonathan se servait et me langeait a mon tour pour la nuit. Au milieu de la nuit je trouvais plaisir a me soulager dedans et j’abandonnais ma couche pleine le matin au réveil. Sa moiteur me donnant envie de plus de volupté et je me masturbais au petit matin avant de rapidement me préparer pour la journée.
Lorsque je rentrais a la maison, Jonathan et Benji venait de rentrer du parc de la résidence ou ils avaient joué aux toboggans, a la pétanque aux jeux de raquettes. Benji était encore tout rouge et les deux garçons voulaient se doucher. Ils se dévêtir et se débarrassèrent de leur couches devant moi « vous êtes allé au parc en couche ? » « Bah, oui pourquoi pas… »
Je ne savais plus comment faire… Le soir j’essayais de faire en sorte que Jonathan donne a sa passion des couches de plus sages proportions de façon a éviter tout problème de voisinage ou avec mon ex femme. Il me répondit que visiblement cela devait être contagieux car il avait trouvé une couche usagée au pied de mon lit ce matin… Jonathan avait effectivement fait l’effort de remettre la maison un peu en ordre et de refaire les lits pendant que Benji était dans son bain avec ses playmobils…
La situation devenait difficilement gérable et pourtant…
Les jours s’enchainait et j’allais de surpris en surprise. Je pensais apprendre des autres et j’en apprenais sur moi. Jonathan en savait maintenant autant sur moi. Lui manifestement n’avait peut être jamais cessé de porter des langes et moi j’apprenais ce qui pouvait être fascinant.
On lui mettant la couche propre de la nuit, je compris que ca aussi pouvait être excitant. Il me lui confirme lorsque je lui demandais « bien sur que ca l’est et je comprends la chance que j’ai devoir un dad comme toi … . on a qu’a essayer…». C’est alors que Jonathan se leva avec ce gros paquet sur les fesses. Il se dirigea dans ma chambre et me demanda de m’allonger pour me langer. Mon trouble était grand mais je le laissais faire… me déshabiller et avec ses fines mains me passer la couche de la nuit. Lorsqu’il eut fini il constata la même opération que sur lui. Mon sexe s’était tendu et il tapota dessus…. Il se coucha a coté de moi et je lui caressais les cheveux et la nuque qu’il avait très douce… nous nous endormions. Au milieu de la nuit il bougea pour se glisser dans les draps.. il pris mon bras pour être enlacé. Cela me réveilla mais je ne dis rien…
Benji vient nous réveiller. Il sautait sur le lit en criant papa tonton je veux du Nesquik… » Jonathan réagit avant moi. Il se leva la couche lourde entre les jambes pour faire le petit déjeuner… j’avais du mal a réagir moi aussi j’avais une couche entre les jambes pas fraiche mais pas mouillé non plus…. Je la glissais enfilait mon pyjama flâneur et alla les rejoindre… le lait chauffait et je proposais aux garçons de les changer l’un a cote de l’autre en attendant.
Benji regardait Jonathan admiratif « tu as un gros zizi toi comme papa. C’est pour ca que tu fais des gros pipis… » Je me disais qu’il fallait que ca cesse mais n’arrivait pas a me résoudre que Jonathan ne soit plus la. Ce gamin était attachant et j’avais besoin de lui pour Benji… et surtout pour moi. Il avait besoin d’une affection que je pouvais lui donner et sans doute que je le remette un peu sur les rails. Je devais percer le mystère sa famille, de lui, des couches et de ce qu’il venait chercher.
J’attendais une semaine pour changer quelque chose. Une fois que Benji fut parti…. Nous avions fait des parcs d(attractions ,des cinés, des partie de jeux de société et de XBOX, des câlins, des promenades, des tours a la piscine….
Jonathan avait profité des vacances que j’offrais a Benji. Ce jour la je devais lui payer sa semaine de babysitting et lui dire que dans 3 semaines il y aurait un nouveau week end…
Il semblait affecté de ne pas nous revoir avant….on échangea nos mails…
Dans l semaine il m’envoya un mail pour me dire que notre histoire n’était pas fini qu’il voulait que je sois son « dad »…je tentais de savoir ce qu’il entendait par là…
Il me dit que je paraissais plus sévère qu’en réalité et que je devais l’être plus avec mes enfants… je lui répondis que j’en avais qu’un et que je l’aimais trop pour le gronder ou lui refuser quoique ce soit… je l’avais trop peu souvent.
Ca seul réponse fut :« et moi ! » Puis rien avant le week end en question. Il m’envoya un SMS pour me dire qu’il serait vendredi soir avec nous pour manger à 19h et qu’il espérait que son petit frère allait bien…
Mon ex compagne m’appela presque à la suite pour me prévenir que Benji serait pas là qu’il était malade (bronchite) et qu’elle préférait le donner à sa mère que de me le confier dans cet état.
Publié par Liberté de la couche
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