dimanche 9 mai 2010
Histoire de mathias 1
Mattias, mon copain , m'a redonner gout aux couches
Il ne me serait jamais venu a l’esprit de reporter des couches si je n’avais pas développé une amitié particulière avec un camarade de classe qui lui-même devait en porter.
Matthias est rentré au collège en même temps que moi. Lui est moi nous faisions la compétition informelle pour avoir la tète de classe. Il était meilleur que moi en langue et en art (plastique et musical) et moi plus douer en français et en math. Il ya un endroit ou on entrait jamais en compétition c’était le sport. J’étais pas très bon mais lui n’en faisait tout simplement pas… allergique au clore et souffrant d’un disque vertébral il était simplement exempté.
Nous grandissions ensemble au rythme de l’adolescence et nous étions très complice, des discussions s’approchant de la philosophie en recréation et des centres d’intérêts communs : le théâtre, la musique, le cinéma, le modélisme et les échecs auxquels il se consacrait pendant que je faisais du sport.
A 14 ans nous étions en 3 ème et devions partir en voyage d’études en Irlande pour s’essayer à la langue de Shakespeare dans la banlieue de Dublin. Matthias arriva avec un gros sac au car qu’il justifia parce qu’il avait pris son jeu d’échec électronique et moi plus léger avec mon sac a dos. Nous devions prendre le ferry a calais…
Nous nous installions a l’arrière du bus les prof voulant être devant avec les perturbateurs habituels qui ne purent investir les places de choix. Nous commencions à jouer aux échecs puis arrêtèrent rapidement car nous étions trop secoués. Matthias était fatigué et il s’endormi sur son sac en travers sur deux places. Je n’allais pas tarder à faire pareil je regardais sa tenue (jean et teeshirt noir qui le rendait en plus de tout un métis assez séduisant. Bien qu’il ne fasse pas de sport il avait dans les gènes le développement d’une musculature fine sur un squelette bien large.
Il se réveilla en sursaut en repliant ses jambes et s’affola brusquement en criant « merde ». Je ne comprenais pas et lui demandais si il avait fait un rêve…déboussolé il me dit « … oui, c’est cela… toujours le même » et il restait prostré.je n’osais lui adresser la parole mais visiblement il y avait quelque chose qui n’allait pas. Peut-être que mon pote que je croyais connaître me cachait quelque chose… et je compris vite en observant mieux. Au sol il y avait une petite flaque qui se formait et je ne pu me retenir de lui dire « mais, c’est quoi ca… ?»
Matthias se retourna alors vers moi en me dévisageant. « Tais toi, je vais t’expliquer… je t’en ai jamais parlé mais en fait, j’ai une malformation de la vessie qui m’oblige a aller souvent au WC si je ne veux pas que ca m’arrive. L’ennuie c’est que lorsque je dors je ne sens pas l’envie et a moins de prendre un médicament qui m’empêche de fabriquer de l’urine, bah ca part sans prévenir»
« … tu veux dire que… »
« Que je pisse au lit toutes les nuits depuis toujours et que si je ne vais pas faire du sport c’est que je dois porter des protections plus légère le jour lorsque ca m’arrive en cours et que avec l’effort sportif il m’arrive de me faire dessus. »
« …. » Un silence s’installa. Je ne savais pas quoi dire… « Tu rigoles y’a pas de couche pour toi ? Enfin je veux dire à notre taille… »
« Figure toi que oui, j’en ai plein mon sac mais pas une sur moi actuellement je pensais pouvoir m’en passer jusqu’au ferry.
« Tu veux dire que tu viens chaque jour avec une couche sur toi ? »
« Bah oui ca t’étonnes mais je ne suis certainement pas le seul et j’en ai même la certitude. Mes frères (que je connaissais) ont le même problème ( ils avaient 16 et 8 ans) mais ma sœur elle est pas embêter avec ca.
« Nous arrivions dans la demi heure au bateau il fallait trouver quelque chose. Il sorti une serviette éponge de son sac qui cachait effectivement un stock de couche blanches et d’autres vertes pales. Son jean était plein de pisse, il se sécha et épongea le fauteuil…
Pour sortir du car il avait mis mon sac a dos en ventral et son pull autour de sa taille. Je portais son sac. L’attente fut longue pour embarquer mais finalement tout passa inaperçu et il put se servir d’une douche sur le ferry pour se changer… lorsqu’il revint je pouvais m’empêcher de le mater et remarquer que sa cambrure avait encore un peu augmenté ce qui lui faisait un « bocul » sur lequel j’avais déjà entendu des commentaires de fille. « Si elles savaient me disais je.. »
Durant la traverser nous étions par cabines de 3 mais nous nous arrangions pour en avoir une à 2 (on en pouvait rien refuser au crack de la classe) pour faire sécher son jean et son slip je lui conseillais de se mettre en pyjama ou en survêtement et de les étendre sur la troisième couchette… il hésita puis se déshabilla. Il avait une de ses couches verte que j’avais vues dans son sac. La discussion repris alors sur le sujet. Il fallait attendre la fin de la croissance et la fin de la puberté pour que les choses s’arrange mais quelquefois ca pourrait arriver dans sa vie adulte d’avoir du mal a se retenir. C’est un mode de vie que de se lever pour aller pisser toute les deux heures. Son grand frère le pratiquait déjà mais lui n’arrivait pas à se lever aussi 2 à 3 fois par nuit et portait des couches et une alèse sur son matelas la nuit.
Je lui demandais quelle impression ca faisait… il me répondit celle d’être mouillé et la honte vis-à-vis de sa petite sœur de 10 ans.
Nous parlions ensuite du voyage et de comment ca allait se passer…les cours, les visites dans Dublin, Kilkenny, Cork, Galway et le Connemara… nous ré épluchions le programme que nous connaissions par cœur. Une première sortie sans mes parents pour moi. Ca rendait euphorique….
« Et ta famille d’accueil, comment tu vas faire ? »
« Oh j’ai l’habitude » me répondit Matthias. « C’est juste qu’il faudra que je jette mes couches usagées discrètement. D’habitude je les stockes dans un poche de mon sac a dos et je les jette à la maison. Là je les évacuerais dans les poubelles publiques »
…
« nous rigolions ensuite sur tout et rien, aidé d’un petit joint que nous avait laissé son frère à l’embarquement à couvert du regard de nos parents qui étaient tous venus pour dire au revoir a leur progéniture. C’était pour nous décoincé avait il dit. Matthias en avait déjà fumé avec lui mais moi pas du tout. Le hoquet me pris et très vite une nausée que je pu par chance rapidement orienter vers le petit lavabo… Matthias était hilare moi moins. Mon sandwich était en parti en train d’obstruer l’écoulement de l’eau dans le siphon. L’odeur se mélangeant au joint, au pipi chaud et à l’odeur de pétrole de la cabine me faisait mal à la tète. Il me dit t’es con j’ai trop rie et je me suis repisser dessus. De fait sa couche était plus gonflée et le témoin d’humidité témoignait me dit il qu’il pouvait la conserver mais c’était limite.
Ca doit être agréable lui dis je finalement tu te réveilles pas parce que ta vessie ne tient plus comme moi. J’aimerais bien faire des grasses matinées sans avoir à traverser le couloir sur le parquet froid le matin moi.
Oui c’est une façon de voir les choses… si tu veux je t’en laisse une tu peux essayer. Il grimpa sur son lit pour atteindre son sac et son survêtement glissa de nouveau pour me faire voir le derrière de sa couche et de son cul bombé. Je ne pu m’empêcher de lui mettre une claque dessus.
Avec mon frère on a l’habitude de faire ça quand il en mettait. Il me tendit la couche et me dit vas y mets en une ?
Je n’osais pas et je rougis « non ce n’est pas mon truc. Je comprends mais je ne veux pas… »
« Allez si t’es mon ; pote fais comme moi on sera sur le même pied d’égalité et on a toute la cabine pour nous… Si tu veux je te la mets… » et il posa la couche sur ma jambe.
Je ne sais pourquoi alors… j’hésitais et je me mis à bander. Et il n’était pas question de le faire voir sauf que Matthias se faisait pressant constata mon gène et bientôt mon érection.
« ca aussi c’est normal mon frère adorait se faire changer et moi j’aime ca aussi… »
« Bah attends un peu tu veux… » … il attendit effectivement et en profita pour réajuster les adhésifs de sa couche. Je ne pensais plus pouvoir reculer maintenant… et le silence ce fit pesant. Puis il me dit de m’allonger sur ma couchette et de me mettre à l’aise. Il déboutonna mon jean… »pour le reste c’est a toi de faire »… je glissais alors celui-ci, puis mon slip tout en regardant fixement la porte coulissante de la cabine dont je redoutais qu’elle ne s’ouvre. Il passa la couche sous moi et me changea se qui relança mon érection mais la couche était déjà fermée lorsque se fut le cas. Je pouvais alors de nouveau le regardais dans les yeux. Ceux-ci luisaient et se perdaient dans les miens … je me dégageais alors et je mis a mon tour un jogging par-dessus… puis nous rallumions le joint. Le bateau tanguait et la soirée avançait. Il me proposa une partie d’échecs mais je n’étais pas en état ; trop de troubles.
Derrière la porte une ombre apparue puis la porte tentait de s’ouvrir : Ouvrez vous ne devez pas fermer cette porte s’il vous arrivez quelque chose. Matthias alla ouvrir et moi je ne savais plus quoi faire… il était pour moi évident que le prof allait s’apercevoir de quelque chose. Il nous passa un savon pour l’odeur de Cannabis caractérisé et nous demanda d’aérer et de nous conduire de façon responsable car ils nous faisaient confiance et ne pouvait pas mettre un accompagnateur dans chaque cabine. Et puis il ferma la porte dans un geste théâtrale juste après avoir fermé l’interrupteur « … sur ceux faite de beaux rêves. Je vous réveille à 5h30 on arrive à 6h00… »
Dans la pénombre Matthias revint à mon niveau en rigolant « cette fois ci il faut que je me change vraiment. Il en était à la troisième couche et prostré sur mon lit en tailleur, je le regardais sortir un nouveau lange et le déplier… « Ace rythme il va t’en manquer… » « T’inquiète il y en a maintenant dans les supermarchés et dans toute les pharmacies… j’irais en acheter… tu viendras avec moi… » « Ah non je me vois pas demander ca en anglais dans la pharmacie… » « mais non.. ; au supermarché… » « … » il descendis son survêt, puis son caleçon et dégrafa la couche qui tomba lourdement au sol.. Seule le contrejour dessinait le profil de Matthias dont je remarquais le corps bien dessiné malgré qu’il ne fasse pas de sport souvent avec nous. Il se baissa pour ramasser sa couche puis la replia de façon savante … il s’avança vers moi pour m’expliquer comment la plier pour la jeter et la mettre dans un sac de couche usagées. Ca va toi ? J’avais presque oublié ma couche avant qu’il ne me touche l’entrejambe et vérifie l’état de ma couche. Mon érection avait repris la couche avait épousé mon anatomie…Allez a toi de me langer…Mais non tu sais bien mieux le faire que moi. C’est pas grave j’ajusterais s’il faut mais fait moi ce plaisir… il s’allongea alors sur le lit et lui aussi commençait à bander. Tu ne préfères pas attendre ? Ah bah non surtout pas ! Je me levais donc et rabattais les cotés de la couche sur son ventre lisse comme un tambour. Il plia les jambes et attendis que je rabatte le devant de la couche sur son robinet qui était devenu un sexe palpitant… il posa alors sa main sur ma couche de nouveau au même endroit que main s’était attardé… je ne pouvais d’ailleurs l’enlever.
Nous étamions comme ca dans le noir un va et vient doux a travers la couche. Je prenais place a cote de lui…ce va et vient qui suivait le tangage du bateau devient de plus en plus rapide et puis ce calma quand Matthias eu libérer ce qui palpitait dans son ventre et que la couche absorba comme toute autre déjection. Mais Matthias n’en eu pas assez et considéra que je n’avais pas eu mon compte. Il continua donc son va et vient pour avoir mon écot. Mon survêt glissa alors sur mes chevilles et il plongea sa main dans la couche pour que je projette ma première pollution dans ma couche. Redressant mon visage pour regarder ce qu’il faisait et me débattre, il me contenu en posant ses lèvres su les miennes et dans l’instant, il ressorti sa main très fièrement. J’vais joui dans la mon de mon copain. Je restais a cote de lui de nombreuses minutes jambe pendantes seul dans ma couche. Je sortais de mon corps pour nous voir l’un a coté de l’autre dans la même tenue flasque et détendu. Et aucun mot ne sortait ni de l’un ni de l’autre… juste des respirations fortes puis moins forte et le bruit de moteur. La lune éclairait nos deux silhouettes…nous nous endormirent comme ça.
Lorsque je me réveillais, Matthias dormait a coté de moi. Il avait manifestement encore mouillé sa couche et son sommeil devait être bon car il bandait encore. J’avis envie de pipi et là pour la première fois je me laissais aller à cette joie que je ne pourris plus jamais retenir, celle de faire dans une couche. J’embrassais Matthias pour ce plaisir qu’il me faisait redécouvrir… il me répondit dans son sommeil … « Oui »
Mais oui a quoi ? ( à suivre)………….
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